À l'occasion de sa rentrée, la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) de La Réunion, par la voix de son président Dominique Vienne, est revenu sur les dernières annonces du premier ministre, Edouard Philippe, dans le Journal du Dimanche. Le locataire de Matignon avait annoncé la désocialisation des heures supplémentaires à compter de 2019 et enterré le projet d'indemnités journalières supportées par les entreprises.
Sur l'exonération de cotisations salariales sur les heures sup', Dominique Vienne salue l'annonce d'Édouard Philippe, mais demande à ce dernier d'aller "plus loin". Le responsable de la CPME demande en effet à ce qu'il n'y ait "pas de cotisations patronales sur les heures travaillées".
Autre élément de satisfaction pour Dominique Vienne: le rétropédalage du gouvernement sur les indemnités journalières. Pour rappel, cette mesure, qui avait provoqué l'ire des organisations patronales, Medef et CPME en tête, prévoyait que les entreprises prennaient en charge quatre jours d'indemnités journalières pour les arrêts de travail de moins de huit jours.
Pour Dominique Vienne, il faudrait plutôt travailler "sur l'accompagnement des médecins sur leur pratique des arrêts de travail": "je rappelle au gouvernement qu'un chef d'entreprise est là pour créer son emploi et ceux des autres, et contribuer au développement économique d'un territoire. On est pas là pour faire la police, la sécurité sociale et la médecine".
Sur l'exonération de cotisations salariales sur les heures sup', Dominique Vienne salue l'annonce d'Édouard Philippe, mais demande à ce dernier d'aller "plus loin". Le responsable de la CPME demande en effet à ce qu'il n'y ait "pas de cotisations patronales sur les heures travaillées".
Autre élément de satisfaction pour Dominique Vienne: le rétropédalage du gouvernement sur les indemnités journalières. Pour rappel, cette mesure, qui avait provoqué l'ire des organisations patronales, Medef et CPME en tête, prévoyait que les entreprises prennaient en charge quatre jours d'indemnités journalières pour les arrêts de travail de moins de huit jours.
Pour Dominique Vienne, il faudrait plutôt travailler "sur l'accompagnement des médecins sur leur pratique des arrêts de travail": "je rappelle au gouvernement qu'un chef d'entreprise est là pour créer son emploi et ceux des autres, et contribuer au développement économique d'un territoire. On est pas là pour faire la police, la sécurité sociale et la médecine".