"On est vraiment désolé. Toutes nos excuses à la population réunionnaise", déclare Jean-Michel Moutama, président de la CGPER (Confédération générale des planteurs et des éleveurs de La Réunion).
Il explique par ailleurs que les difficultés que rencontrent les agriculteurs auront des conséquences plus larges : "Mais il faut qu'ils comprennent que ce n'est pas uniquement 2.500 planteurs qui sont concernés, mais l'avenir de toute une filière et qui fait vivre plus de 20.000 personnes à La Réunion. L'enjeu est là !"
Il explique par ailleurs que les difficultés que rencontrent les agriculteurs auront des conséquences plus larges : "Mais il faut qu'ils comprennent que ce n'est pas uniquement 2.500 planteurs qui sont concernés, mais l'avenir de toute une filière et qui fait vivre plus de 20.000 personnes à La Réunion. L'enjeu est là !"
La colère des agriculteurs
"Escuz' a nou. Cé pa nout fot la mobilisation, cé la fot Tereos ! Si li té donn' a nou nout zaffèr, nou té vien pa su la route Saint-Denis", explique un planteur qui a garé son tracteur sur le Boulevard de la Providence.
Les éleveurs demandent à ce qu'un prix plancher soit désigné et qu'il leur apporte les "garanties économiques" nécessaires pour faire face à la crise mondiale qui a fait flamber les prix des matières premières.
"Escuz' a nou. Cé pa nout fot la mobilisation, cé la fot Tereos ! Si li té donn' a nou nout zaffèr, nou té vien pa su la route Saint-Denis", explique un planteur qui a garé son tracteur sur le Boulevard de la Providence.
Les éleveurs demandent à ce qu'un prix plancher soit désigné et qu'il leur apporte les "garanties économiques" nécessaires pour faire face à la crise mondiale qui a fait flamber les prix des matières premières.