"Les Français pourront partir en vacances en France en juillet et en août (en métropole et en outre-mer)", a assuré ce jeudi 14 mai le Premier ministre Edouard Philippe, sous réserve toutefois "de possibles restrictions très localisées" en fonction de l'évolution de l'épidémie de coronavirus.
"Nous privilégions une hypothèse raisonnable: les Français pourront partir en vacances en France au mois de juillet et au mois d'août. Quand je dis en France, c'est évidemment en métropole, dans l'Hexagone, et dans les outre-mer", a-t-il précisé.
"Les Français peuvent prendre leurs réservations", a encouragé le Premier ministre, en soulignant que "les acteurs du tourisme, de l'hôtellerie, se sont engagés à faire en sorte qu'ils soient intégralement remboursés dans l'hypothèse où l'évolution de l'épidémie ne rendrait pas possible le départ en vacances", a-t-il annoncé à l'issue d'un comité interministériel à Matignon.
Le chef du gouvernement présentait un plan Marshall "massif et sans précédent", à hauteur de 18 milliards d’euros d’aides directes et indirectes, au secteur touristique.
"Le tourisme fait face à la pire épreuve de son histoire moderne. Son sauvetage est une priorité nationale : pour permettre au secteur de surmonter la crise, nous mettons en place un Plan Tourisme sans précédent de 18 milliards d’euros", a-t-il insisté.
Pour les cafés et les restaurants, le Premier ministre a indiqué que la date de réouverture serait fixée pendant la semaine du 25 mai.
"Nous privilégions une hypothèse raisonnable: les Français pourront partir en vacances en France au mois de juillet et au mois d'août. Quand je dis en France, c'est évidemment en métropole, dans l'Hexagone, et dans les outre-mer", a-t-il précisé.
"Les Français peuvent prendre leurs réservations", a encouragé le Premier ministre, en soulignant que "les acteurs du tourisme, de l'hôtellerie, se sont engagés à faire en sorte qu'ils soient intégralement remboursés dans l'hypothèse où l'évolution de l'épidémie ne rendrait pas possible le départ en vacances", a-t-il annoncé à l'issue d'un comité interministériel à Matignon.
Le chef du gouvernement présentait un plan Marshall "massif et sans précédent", à hauteur de 18 milliards d’euros d’aides directes et indirectes, au secteur touristique.
"Le tourisme fait face à la pire épreuve de son histoire moderne. Son sauvetage est une priorité nationale : pour permettre au secteur de surmonter la crise, nous mettons en place un Plan Tourisme sans précédent de 18 milliards d’euros", a-t-il insisté.
Pour les cafés et les restaurants, le Premier ministre a indiqué que la date de réouverture serait fixée pendant la semaine du 25 mai.