
Dans laquelle on m’explique gentiment comment utiliser les masques. Je suis donc si con pour ne pas le savoir ? Je plaisante… Ces masques sont en tissu, plusieurs fois lavables ; l’ensemble permet de tenir le coup soixante jours à l’abri de la méchante bébête et des 135 euros.
Cela a dû leur coûter bonbon, à Paris, car les gens seuls (ou en famille) en-dessous du minimum vital se trouvent par paquets de 1000 !
Que l’on soit pour ou contre Macron and C° (perso je suis contre), il faut le dire lorsqu’ils ont une bonne initiative. Etre sectaire à 200% ne fait jamais avancer les choses ; donc, merci M. Véran.
Quand la mémoire est désastreuse…
Bien des journalistes sportifs ont la fascination du sensationnel et une mémoire de poisson rouge.
Quand ils veulent citer une championne du Grand Raid, c’est toujours Marcelle Puy qu’ils citent. Je suis le premier à saluer les immenses performances de madame Puy mais jamais, au grand jamais, ces champions du mal-parler n’ont cité le nom de la toute première championne de la Diagonale des Fous.
Cette femme admirable, trop tôt disparue, était madame Françoise Mollard.
Il en va de même pour ces deux grands champions, arrivant ensemble dernièrement en tête à la Redoute, se sont donné la main pour franchir la ligne d’arrivée. C’est du très grand fair-play et chapeau bas !
Mais là encore, nos commentateurs, qui ne parlent pas tous comme Drucker ou Montfort, ont oublié que ce geste extraordinaire avait déjà été accompli voici quelque vingt ans. C’était en Une du Quotidien ; il s’agissait de Maffre et Trousselier. Comment peut-on oublier ça ?
Le Coronavirus peut-il disparaître ?
Il n’est pas fou d’y croire, surtout si l’on pense à un autre virus, qui a détruit une grande partie de la population de la Sierra Leone : Ebola.
Le virus Ebola a fichu la trouille au monde entier. Les Sierra Léonais y ont payé le plus lourd tribut. C’était si virulent que les autorités de ce pays ont pris des mesures drastiques : interdiction totale de déplacement, arrêt des bus et taxis, arrêt des marchés forains, fermeture des hôtels et aéroports. Le pays a été plongé dans la nuit, une nuit auprès de laquelle notre confinement fait pâle figure.
Total, le virus Ebola a disparu corps et biens et la vie a repris en Sierra Leone. Péniblement, certes. Mais elle a repris.
Certains croyants y voient la main de Dieu. Pourquoi pas ! Si ça les console. Pour ma part, j’y vois un espoir que le Coronavirus finisse par se barrer un de ces quatre. A condition d’observer quelques mesures certes désagréables mais… il n’y a pas moyen de faire autrement.
A moins que vous ne soyez partisan de la piqûre de Javel préconisée par le fou gonflé de la Maison-Blanche.
Cela a dû leur coûter bonbon, à Paris, car les gens seuls (ou en famille) en-dessous du minimum vital se trouvent par paquets de 1000 !
Que l’on soit pour ou contre Macron and C° (perso je suis contre), il faut le dire lorsqu’ils ont une bonne initiative. Etre sectaire à 200% ne fait jamais avancer les choses ; donc, merci M. Véran.
Quand la mémoire est désastreuse…
Bien des journalistes sportifs ont la fascination du sensationnel et une mémoire de poisson rouge.
Quand ils veulent citer une championne du Grand Raid, c’est toujours Marcelle Puy qu’ils citent. Je suis le premier à saluer les immenses performances de madame Puy mais jamais, au grand jamais, ces champions du mal-parler n’ont cité le nom de la toute première championne de la Diagonale des Fous.
Cette femme admirable, trop tôt disparue, était madame Françoise Mollard.
Il en va de même pour ces deux grands champions, arrivant ensemble dernièrement en tête à la Redoute, se sont donné la main pour franchir la ligne d’arrivée. C’est du très grand fair-play et chapeau bas !
Mais là encore, nos commentateurs, qui ne parlent pas tous comme Drucker ou Montfort, ont oublié que ce geste extraordinaire avait déjà été accompli voici quelque vingt ans. C’était en Une du Quotidien ; il s’agissait de Maffre et Trousselier. Comment peut-on oublier ça ?
Le Coronavirus peut-il disparaître ?
Il n’est pas fou d’y croire, surtout si l’on pense à un autre virus, qui a détruit une grande partie de la population de la Sierra Leone : Ebola.
Le virus Ebola a fichu la trouille au monde entier. Les Sierra Léonais y ont payé le plus lourd tribut. C’était si virulent que les autorités de ce pays ont pris des mesures drastiques : interdiction totale de déplacement, arrêt des bus et taxis, arrêt des marchés forains, fermeture des hôtels et aéroports. Le pays a été plongé dans la nuit, une nuit auprès de laquelle notre confinement fait pâle figure.
Total, le virus Ebola a disparu corps et biens et la vie a repris en Sierra Leone. Péniblement, certes. Mais elle a repris.
Certains croyants y voient la main de Dieu. Pourquoi pas ! Si ça les console. Pour ma part, j’y vois un espoir que le Coronavirus finisse par se barrer un de ces quatre. A condition d’observer quelques mesures certes désagréables mais… il n’y a pas moyen de faire autrement.
A moins que vous ne soyez partisan de la piqûre de Javel préconisée par le fou gonflé de la Maison-Blanche.