Ça se rapprocherait des 71/72 %…
Bon ! Je sais que le chouchou d’Erika a un sourire sinistre. C’est pas de sa faute, il a jamais appris. Mais ce n’est pas une raison pour bouder le vote !
Nos ancêtres se sont battus pour ça. Et il y a bien des pays où on aimerait avoir le droit de voter librement. Un Africain, nouvellement Français, l’a dit sans souci : « J’aimerais que tous mes anciens compatriotes aient ce même droit ».
Je suis allé voter à 8h30 hier, à l’école Azéma. Il y avait 5 bulletins dans l’urne et personne dehors.
A force de dire « je ne vote plus… je ne vote plus… », on ouvre les portes aux extrémistes, aux dictateurs amis de Poutine, par exemple. Comme Le Pen ou Mélenchon.
Nous avons un droit, un droit précieux, le droit de vote. Il faut l’utiliser, s’en servir jusqu’à plus soif !
Allez voter dimanche, nom de Dieu !
« Ile intense » ou île douloureuse ?
Ce serait plutôt « île hyper-dangereuse ».
Des sportifs accomplis, comme cela s’est récemment produit au Dimitile, peuvent aisément perdre la vie chez nous. Il n’y a guère, des parachutistes ont disparu du paysage. Cette dame venue de métropole n’a laissé aucune trace de son passage et ainsi de suite.
Alors, que le bouillonnement de l’île soit intense, je veux bien ; mais que l’on cesse d’utiliser cette grotesque expression pour définir notre pays.
Le français ne manque pas de vocabulaire, me semble-t-il.
Leçon de courtoisie électorale
On ne peut reprocher à RFO d’avoir organisé les débats entre candidats. Mais quel spectacle affligeant ! Tenez… Thierry Robert et Perceval Gaillard ont passé tout leur temps d’antenne à s’interrompre grossièrement, à s’insulter, à se jeter à la figure des bulletins judiciaires par paquets de vingt, à se traiter de tous les noms d’oiseaux, à prouver au corps électoral que leur vocabulaire se limitait aux injures et autres propos qui n’ont rien à faire à l’écran.
On devrait pouvoir les renvoyer chez eux pour grossièretés et imbécillités chroniques mais le code électoral ne le prévoit pas. Pas encore. Même Nathalie Bassire s’en est prise à la famille de son adversaire Patrice TAK. Sous prétexte qu’il s’appelle TAK. Il aurait dû changer de nom ? Alors, dans ce cas, elle aurait dû en appeler aux mânes des familles Vergès, Virapoullé, Hoarau, Gironcel… Il n’y a pas qu’ici que des familles ont le goût de la politique.
Je ne peux que saluer alors la remarquable prestation de MM. Maillot et Laye Kane Chéong, remarquables de courtoisie et de politesse. Ils se sont affrontés, certes, sans rien renier de leurs convictions, ils se sont contredits, mais avec une modération dont feraient bien de s’inspirer les « autres », les vieux chevaux de retour qui ont si peu à dire qu’ils ne trouvent que l’insulte comme argument dans un débat électoral.
Bravo les jeunes !
Gotlib, Sim, Leeb, Bedos…
Aujourd’hui, ils finiraient en taule !
C’est sans doute pour compenser le réchauffement climatique empêchant la Nature de pousser ?… On assiste en ce moment à une épouvantable floraison de mots inutiles, incolores, inodores, sans saveur, qui ne servent qu’à masquer le vide de la pensée. Les « process », les « eh bien », et autres « en fait », avec aussi les « expliciter », les « koça ou dis, ou ? », comme encore les « de suite » prennent plus de place que les vrais mots.
Dans le même temps, on nous fiche des trouilles carabinées en nous expliquant qu’avec certaines expressions, on finit direct à Domenjod.
Pourtant… qu’est-ce qu’on a pu en rire ! Eh non, on peut plus.
Vous voyez le grand Michel Leeb parler aujourd’hui de « bouteilles vides » sans se faire aussi sec accuser de racisme ?
Et Guy Bedos avec son « elles adorent ça, ces chiennes » ? C’est de l’anti-féminisme, ça, camarade.
Quant au regretté Gotlib, il serait écartelé en Place de Grève. Non seulement il nous a pliés en quatre en présentant un Lord Baden Powell lubrique à souhait collant une pelle à une jeune scoute en lui glissant la main dans la culotte, mais Jean Valjean alors ! Ce dernier, sous les traits de Victor Hugo lui-même, explique à Cosette qu’elle peut très bien lui témoigner sa reconnaissance. Image suivante, la petiote, auréolée comme une sainte, lui taille une pipe bien baveuse. « Tu vois… Quand tu veux… »
Quant à Sim, après le coup de « la petite libellule », il se fait écharper par trois-cent-soixante-quinze LGBT sitôt arrivé sur le trottoir.
Sartre se ferait-il massacrer par la SPA pour avoir osé mentionner « les Mouches » ? Et Voltaire irait au bûcher pour agnosticisme inconvenant ?
Zinfos974 est heureux de vous annoncer une grande première : notre bonneteau créole « carte rouge-carte noire » est débaptisé et devient « poule collet tout nu-poule PCR ».
Bon ! Je sais que le chouchou d’Erika a un sourire sinistre. C’est pas de sa faute, il a jamais appris. Mais ce n’est pas une raison pour bouder le vote !
Nos ancêtres se sont battus pour ça. Et il y a bien des pays où on aimerait avoir le droit de voter librement. Un Africain, nouvellement Français, l’a dit sans souci : « J’aimerais que tous mes anciens compatriotes aient ce même droit ».
Je suis allé voter à 8h30 hier, à l’école Azéma. Il y avait 5 bulletins dans l’urne et personne dehors.
A force de dire « je ne vote plus… je ne vote plus… », on ouvre les portes aux extrémistes, aux dictateurs amis de Poutine, par exemple. Comme Le Pen ou Mélenchon.
Nous avons un droit, un droit précieux, le droit de vote. Il faut l’utiliser, s’en servir jusqu’à plus soif !
Allez voter dimanche, nom de Dieu !
« Ile intense » ou île douloureuse ?
Ce serait plutôt « île hyper-dangereuse ».
Des sportifs accomplis, comme cela s’est récemment produit au Dimitile, peuvent aisément perdre la vie chez nous. Il n’y a guère, des parachutistes ont disparu du paysage. Cette dame venue de métropole n’a laissé aucune trace de son passage et ainsi de suite.
Alors, que le bouillonnement de l’île soit intense, je veux bien ; mais que l’on cesse d’utiliser cette grotesque expression pour définir notre pays.
Le français ne manque pas de vocabulaire, me semble-t-il.
Leçon de courtoisie électorale
On ne peut reprocher à RFO d’avoir organisé les débats entre candidats. Mais quel spectacle affligeant ! Tenez… Thierry Robert et Perceval Gaillard ont passé tout leur temps d’antenne à s’interrompre grossièrement, à s’insulter, à se jeter à la figure des bulletins judiciaires par paquets de vingt, à se traiter de tous les noms d’oiseaux, à prouver au corps électoral que leur vocabulaire se limitait aux injures et autres propos qui n’ont rien à faire à l’écran.
On devrait pouvoir les renvoyer chez eux pour grossièretés et imbécillités chroniques mais le code électoral ne le prévoit pas. Pas encore. Même Nathalie Bassire s’en est prise à la famille de son adversaire Patrice TAK. Sous prétexte qu’il s’appelle TAK. Il aurait dû changer de nom ? Alors, dans ce cas, elle aurait dû en appeler aux mânes des familles Vergès, Virapoullé, Hoarau, Gironcel… Il n’y a pas qu’ici que des familles ont le goût de la politique.
Je ne peux que saluer alors la remarquable prestation de MM. Maillot et Laye Kane Chéong, remarquables de courtoisie et de politesse. Ils se sont affrontés, certes, sans rien renier de leurs convictions, ils se sont contredits, mais avec une modération dont feraient bien de s’inspirer les « autres », les vieux chevaux de retour qui ont si peu à dire qu’ils ne trouvent que l’insulte comme argument dans un débat électoral.
Bravo les jeunes !
Gotlib, Sim, Leeb, Bedos…
Aujourd’hui, ils finiraient en taule !
C’est sans doute pour compenser le réchauffement climatique empêchant la Nature de pousser ?… On assiste en ce moment à une épouvantable floraison de mots inutiles, incolores, inodores, sans saveur, qui ne servent qu’à masquer le vide de la pensée. Les « process », les « eh bien », et autres « en fait », avec aussi les « expliciter », les « koça ou dis, ou ? », comme encore les « de suite » prennent plus de place que les vrais mots.
Dans le même temps, on nous fiche des trouilles carabinées en nous expliquant qu’avec certaines expressions, on finit direct à Domenjod.
Pourtant… qu’est-ce qu’on a pu en rire ! Eh non, on peut plus.
Vous voyez le grand Michel Leeb parler aujourd’hui de « bouteilles vides » sans se faire aussi sec accuser de racisme ?
Et Guy Bedos avec son « elles adorent ça, ces chiennes » ? C’est de l’anti-féminisme, ça, camarade.
Quant au regretté Gotlib, il serait écartelé en Place de Grève. Non seulement il nous a pliés en quatre en présentant un Lord Baden Powell lubrique à souhait collant une pelle à une jeune scoute en lui glissant la main dans la culotte, mais Jean Valjean alors ! Ce dernier, sous les traits de Victor Hugo lui-même, explique à Cosette qu’elle peut très bien lui témoigner sa reconnaissance. Image suivante, la petiote, auréolée comme une sainte, lui taille une pipe bien baveuse. « Tu vois… Quand tu veux… »
Quant à Sim, après le coup de « la petite libellule », il se fait écharper par trois-cent-soixante-quinze LGBT sitôt arrivé sur le trottoir.
Sartre se ferait-il massacrer par la SPA pour avoir osé mentionner « les Mouches » ? Et Voltaire irait au bûcher pour agnosticisme inconvenant ?
Zinfos974 est heureux de vous annoncer une grande première : notre bonneteau créole « carte rouge-carte noire » est débaptisé et devient « poule collet tout nu-poule PCR ».