Les raies manta en voie d’extinction : pour cause de connerie humaine
Le rhinocéros blanc a totalement disparu car il n’est jamais bon de porter des cornes. Quand, en plus, elles sont réputées aphrodisiaques, ce qui est archi-faux, et qu’on est trop volumineux pour se cacher, la fin est fatale. Les raies manta vont-elles subir le même triste sort ? Elles viennent en nombre autour des îles seychelloises car y trouvant leur nourriture favorite. Les chalutiers chinois les suivent à la trace car certains thérapeutes traditionnels de la même farine ont découvert que LES BRANCHIES des manta sont souveraines contre quelque maladie de leur cru. Une pangolinite, peut-être ?
Comme ces chalutiers massacreurs paient de fortes redevances au gouvernement de Victoria, le massacre va bon train. Et, les jours se suivant et se ressemblant, les pêcheurs prélèvent les branchies et rejettent la carcasse à l’océan. Comme pour les requins et le coup des ailerons. Révélations : le bec de camareux est excellent contre le cancer… La langue de cigogne fait des miracles contre la fièvre ébola… Les ongles de bonobos sont souverains contre l’impuissance… On est bien parti, là, vous ne trouvez pas ?
Le monstrueux aveu de Bolsonaro
Le climato-sceptique d’extrême droite, celui-là même qui a entrepris de détruire la forêt amazonienne, l’a avoué hier : « Le Brésil est en faillite et je ne peux rien faire ». C’est dur à avaler. Personne ne lui a jamais appris que les dictatures, même déguisées sous le masque de la démocratie, sont toujours des catastrophes sur le plan économique. Voir le stalinisme. Voir Ratsiraka qui a réussi, en 25 ans, à renvoyer Madagascar au Moyen-Age alors que ce pays avait dépassé le stade « d’en voie de développement ». Voir l’appauvrissement phénoménal du Chili sous Pinochet. L’Ethiopie commençait à s’en sortir avant le Négus rouge. Les candidats aux fonctions suprêmes devraient, je pense, subir des examens de passage destinés à voir s’ils ne dépassent pas leur seuil d’incompétence. Ce serait bénéfique pour les populations qu’ils prétendent diriger.
« La montaison », vous connaissiez ? Moi pas
Mon vocabulaire perso vient de s’enrichir d’un mot nouveau très surprenant. Lors d’un reportage télévisé sur les pêcheurs de bichiques de l’Est, l’un des intéressés a plusieurs fois répété « Nous attend’ la montaison ». Le temps que mes idées cessent de s’entrechoquer et j’ai dû admettre qu’il s’agissait tout simplement de « la montée » des bichiques. Après la « trompaison » de cet humoriste, de la « goûtaison » de Dédé Maurice (mais dans ces deux cas, il s’agissait d’humour), voici « la montaison » qui nous fout le tournis.
A propos de malades mentaux…
Stephen King, qui n’a pas son pareil pour vous foutre le trouillomètre à zéro, possède un humour dévastateur. Dans son « Anatomie de l’horreur », voici ce qu’il avance à propos des malades mentaux, autrement dit les déglingués des neurones, les troudkis de l’entendement, ça vaut son pesant de vavangues : « Si nous sommes tous fous, alors la folie devient une question de degré… Un fou meurtrier sommeille en presque chacun de nous. Mis à part les saints passés et présents, mais la plupart des saints présentent un autre type de démence, et il faut les laisser s’exprimer de temps en temps, hurler à la lune et se rouler dans l’herbe ». Ça me fait penser à un certain Trump. On voit les dégâts que ça peut causer.
Le rhinocéros blanc a totalement disparu car il n’est jamais bon de porter des cornes. Quand, en plus, elles sont réputées aphrodisiaques, ce qui est archi-faux, et qu’on est trop volumineux pour se cacher, la fin est fatale. Les raies manta vont-elles subir le même triste sort ? Elles viennent en nombre autour des îles seychelloises car y trouvant leur nourriture favorite. Les chalutiers chinois les suivent à la trace car certains thérapeutes traditionnels de la même farine ont découvert que LES BRANCHIES des manta sont souveraines contre quelque maladie de leur cru. Une pangolinite, peut-être ?
Comme ces chalutiers massacreurs paient de fortes redevances au gouvernement de Victoria, le massacre va bon train. Et, les jours se suivant et se ressemblant, les pêcheurs prélèvent les branchies et rejettent la carcasse à l’océan. Comme pour les requins et le coup des ailerons. Révélations : le bec de camareux est excellent contre le cancer… La langue de cigogne fait des miracles contre la fièvre ébola… Les ongles de bonobos sont souverains contre l’impuissance… On est bien parti, là, vous ne trouvez pas ?
Le monstrueux aveu de Bolsonaro
Le climato-sceptique d’extrême droite, celui-là même qui a entrepris de détruire la forêt amazonienne, l’a avoué hier : « Le Brésil est en faillite et je ne peux rien faire ». C’est dur à avaler. Personne ne lui a jamais appris que les dictatures, même déguisées sous le masque de la démocratie, sont toujours des catastrophes sur le plan économique. Voir le stalinisme. Voir Ratsiraka qui a réussi, en 25 ans, à renvoyer Madagascar au Moyen-Age alors que ce pays avait dépassé le stade « d’en voie de développement ». Voir l’appauvrissement phénoménal du Chili sous Pinochet. L’Ethiopie commençait à s’en sortir avant le Négus rouge. Les candidats aux fonctions suprêmes devraient, je pense, subir des examens de passage destinés à voir s’ils ne dépassent pas leur seuil d’incompétence. Ce serait bénéfique pour les populations qu’ils prétendent diriger.
« La montaison », vous connaissiez ? Moi pas
Mon vocabulaire perso vient de s’enrichir d’un mot nouveau très surprenant. Lors d’un reportage télévisé sur les pêcheurs de bichiques de l’Est, l’un des intéressés a plusieurs fois répété « Nous attend’ la montaison ». Le temps que mes idées cessent de s’entrechoquer et j’ai dû admettre qu’il s’agissait tout simplement de « la montée » des bichiques. Après la « trompaison » de cet humoriste, de la « goûtaison » de Dédé Maurice (mais dans ces deux cas, il s’agissait d’humour), voici « la montaison » qui nous fout le tournis.
A propos de malades mentaux…
Stephen King, qui n’a pas son pareil pour vous foutre le trouillomètre à zéro, possède un humour dévastateur. Dans son « Anatomie de l’horreur », voici ce qu’il avance à propos des malades mentaux, autrement dit les déglingués des neurones, les troudkis de l’entendement, ça vaut son pesant de vavangues : « Si nous sommes tous fous, alors la folie devient une question de degré… Un fou meurtrier sommeille en presque chacun de nous. Mis à part les saints passés et présents, mais la plupart des saints présentent un autre type de démence, et il faut les laisser s’exprimer de temps en temps, hurler à la lune et se rouler dans l’herbe ». Ça me fait penser à un certain Trump. On voit les dégâts que ça peut causer.