
La candidature de Thierry Robert est validée. Celle de Monique Orphé fait encore l'objet d'une "étude" (photo Pierre Marchal Anakaopress)
Les 19.000 personnes qui se sont portées candidates à l'investiture La République en marche aux élections législatives sont fixées sur leur sort. Leur candidature est passée au crible de la commission d'investiture d'En marche !
Après 1H30 de retard sur l'heure annoncée, Richard Ferrand, secrétaire général d'En Marche !, a annoncé le nom des candidats qui pourront se revendiquer du parti aux législatives. Ils sont pour une grande majorité issus de la société civile pour permettre un grand renouvellement voulu par le tout nouveau président élu, Emmanuel Macron.
"52% des candidats sont issus de la société civile : ils n'ont jamais exercé de mandat électif. Sur la parité réelle : 214 candidats sont des femmes et 214 candidats sont des hommes", informe Richard Ferrand. "Des candidats qui n'ont aucune mention au casier judiciaire et qui n'ont jamais été déclarés inéligibles", ajoute-t-il. 93% des candidats sont en activité professionnelle. 2% en recherche d'emploi. 95% ne sont pas des députés sortants. Leur âge moyen est de 46 ans. Le candidat le plus jeune a 24 ans, la plus âgée 72 ans. Tout de même, 24 parlementaires (sortants) sont investis par le parti d’Emmanuel Macron. Parmi eux, aucun député Les Républicains.
Encore 149 candidats à trouver
Après 1H30 de retard sur l'heure annoncée, Richard Ferrand, secrétaire général d'En Marche !, a annoncé le nom des candidats qui pourront se revendiquer du parti aux législatives. Ils sont pour une grande majorité issus de la société civile pour permettre un grand renouvellement voulu par le tout nouveau président élu, Emmanuel Macron.
"52% des candidats sont issus de la société civile : ils n'ont jamais exercé de mandat électif. Sur la parité réelle : 214 candidats sont des femmes et 214 candidats sont des hommes", informe Richard Ferrand. "Des candidats qui n'ont aucune mention au casier judiciaire et qui n'ont jamais été déclarés inéligibles", ajoute-t-il. 93% des candidats sont en activité professionnelle. 2% en recherche d'emploi. 95% ne sont pas des députés sortants. Leur âge moyen est de 46 ans. Le candidat le plus jeune a 24 ans, la plus âgée 72 ans. Tout de même, 24 parlementaires (sortants) sont investis par le parti d’Emmanuel Macron. Parmi eux, aucun député Les Républicains.
Encore 149 candidats à trouver

"Nous avons étudié 19 000 dossiers de candidature ; 34 candidatures en moyenne par circonscription. À l'issue d'une préselection, 1700 entretiens téléphoniques ont été menés"
Sur les 577 sièges à pourvoir à l’Assemblée, seuls 428 noms sont donc finalement dévoilés. Il manque donc 149 candidats à sélectionner dans les jours qui viennent. En cause, des dizaines de circonscriptions qui posent problème avec notamment des candidats issus du Parti socialiste. Pour ces cas bien précis, Emmanuel Macron doit trancher personnellement. Richard Ferrand explique que les noms des autres candidats restent à étudier. "Nous continuons à étudier des dossiers, issus notamment des territoires d’outre-mer". La Liste complète devrait être rendue d'ici mercredi prochain.
D'ici là, seules deux circonscriptions sont pourvues à La Réunion : la 5 et la 7 avec respectivement Léopoldine Settama-Vidon et Thierry Robert.
Sur le cas très particulier du VIP Manuel Valls, la commission de sélection a tranché. "Nous considérons qu’un ancien Premier ministre, qui n’est donc pas n’importe qui - même s'il a déposé son dossier de manière très tardive - nous avons constaté que la candidature de l’intéressé ne répondait pas aux critères car il avait effectué trois mandats de parlementaires. Nous n'investissons pas M. Valls mais ne lui opposons pas de candidat", indique le bras droit d'Emmanuel Macron.
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Législatives : Le casse-tête du PS pour le cas Orphé
D'ici là, seules deux circonscriptions sont pourvues à La Réunion : la 5 et la 7 avec respectivement Léopoldine Settama-Vidon et Thierry Robert.
Sur le cas très particulier du VIP Manuel Valls, la commission de sélection a tranché. "Nous considérons qu’un ancien Premier ministre, qui n’est donc pas n’importe qui - même s'il a déposé son dossier de manière très tardive - nous avons constaté que la candidature de l’intéressé ne répondait pas aux critères car il avait effectué trois mandats de parlementaires. Nous n'investissons pas M. Valls mais ne lui opposons pas de candidat", indique le bras droit d'Emmanuel Macron.
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