"Nous sommes prêts à partir au combat", lance Monique Orphé, bien décidée à retrouver un siège à l'Assemblée nationale, elle qui souhaite "rétablir la confiance" entre les institutions, ses représentants et la population. Une confiance brisée, selon l'ancienne parlementaire, par la députée sortante, Nadia Ramassamy, qu'elle qualifie de "Fantomas" en raison de son "invisibilité" sur le terrain, et coupable selon elle d'avoir aggravé cette défiance des électeurs envers leurs représentants.
"Kan mi regarde a elle ou koné pa ousa elle i sava. Comment fait-elle pour être députée et continuer à exercer à son cabinet, avec 0 rapport fait durant ses 5 années à l'Assemblée nationale ?", regrette Monique Orphé. Elle accuse également celle qui lui a succédé d'avoir "affaibli" le territoire en ne se positionnant pas sur des sujets qui ont marqué ces dernières années, comme la crise des gilets jaunes ou encore la crise sanitaire. "Aujourd'hui, nous voyons tous les problèmes qu'il y a autour du pouvoir d'achat, des difficultés rencontrées par les agriculteurs ou encore l'augmentation des prix..."
"Autant de sujets que les gens attendent de leurs représentants qu'ils se positionnent", martèle Monique Orphé, assurant avoir un meilleur bilan que Nadia Ramassamy. "Mon bilan, il est là. Si demain je suis élue, je ferai ce travail de proximité", assure la conseillère départementale, qui rappelle avoir été classée 56e députée la plus active parmi les 577 que compte l'hémicycle de l'Assemblée nationale durant son mandat, sans oublier la rédaction de 7 rapports.
Monique Orphé souhaite par ailleurs garantir la santé et la sécurité des habitants mais aussi préparer la 6e circonscription aux grandes mutations à venir afin de rattraper son retard sur l'Ouest ou le Sud de l'île. "J’ai connu La Réunion d’hier qui n’est plus celle aujourd’hui. Il nous faut de vraies politiques publiques pour rendre attractifs nos territoires", via la Région, le Département, "sans oublier l'Etat qui doit mettre la main à la poche".
Le programme du binôme Orphé-Ramassamy (Jean-François) sera prochainement détaillé, après la restitution de l'enquête menée auprès de 2000 personnes "qui alimentera notre projet et sera notre bible durant ces cinq prochaines années", termine l'ex-parlementaire.
"Kan mi regarde a elle ou koné pa ousa elle i sava. Comment fait-elle pour être députée et continuer à exercer à son cabinet, avec 0 rapport fait durant ses 5 années à l'Assemblée nationale ?", regrette Monique Orphé. Elle accuse également celle qui lui a succédé d'avoir "affaibli" le territoire en ne se positionnant pas sur des sujets qui ont marqué ces dernières années, comme la crise des gilets jaunes ou encore la crise sanitaire. "Aujourd'hui, nous voyons tous les problèmes qu'il y a autour du pouvoir d'achat, des difficultés rencontrées par les agriculteurs ou encore l'augmentation des prix..."
"Autant de sujets que les gens attendent de leurs représentants qu'ils se positionnent", martèle Monique Orphé, assurant avoir un meilleur bilan que Nadia Ramassamy. "Mon bilan, il est là. Si demain je suis élue, je ferai ce travail de proximité", assure la conseillère départementale, qui rappelle avoir été classée 56e députée la plus active parmi les 577 que compte l'hémicycle de l'Assemblée nationale durant son mandat, sans oublier la rédaction de 7 rapports.
Monique Orphé souhaite par ailleurs garantir la santé et la sécurité des habitants mais aussi préparer la 6e circonscription aux grandes mutations à venir afin de rattraper son retard sur l'Ouest ou le Sud de l'île. "J’ai connu La Réunion d’hier qui n’est plus celle aujourd’hui. Il nous faut de vraies politiques publiques pour rendre attractifs nos territoires", via la Région, le Département, "sans oublier l'Etat qui doit mettre la main à la poche".
Le programme du binôme Orphé-Ramassamy (Jean-François) sera prochainement détaillé, après la restitution de l'enquête menée auprès de 2000 personnes "qui alimentera notre projet et sera notre bible durant ces cinq prochaines années", termine l'ex-parlementaire.