Jean-Hugues Ratenon dit vouloir se présenter pour lutter contre les mesures "dangereuses" de François Fillon, candidat Les Républicains à la présidentielle.
Comme l’affirme le leader de Rézistans Égalité 974, l’ancien premier ministre souhaiterait revenir sur les 35h, supprimer l’ISF et augmenter la TVA de deux points, supprimer près de 500 000 emplois dans le service public, le report de l’âge de la retraite à 65 ans en 2020 ou encore réformer la Sécurité sociale avec la mise en application de sa mesure visant à dérembourser certains soins. "La fédération nationale de la mutualité française évalue à 20 milliards d’euros le coût supplémentaire pour les ménages français de l’application de la mesure Fillon et que cela représenterait un coût supplémentaire de 300 euros par personne et par an pour un couple avec un enfant", selon Jean-Hugues Ratenon.
Autre inquiétude affichée par ce dernier : la volonté affichée de François Fillon de mettre en place une allocation sociale unique (ASU). Une telle mesure serait pour Jean-Hugues Ratenon "l’antichambre de la remise en cause du droit des travailleurs à l’allocation chômage et du RSA activité". "Face à cela, notre rôle aujourd’hui c’est de nous mettre en ordre de bataille pour affronter le pire qui est à venir. Nous avons deux questions : Qui sont les fous qui oseront voter pour Fillon ? Qui sont les fous qui oseront voter pour le représentant du programme de Fillon sur la 5ème ?" s’interroge-t-il.
Après avoir critiqué sévèrement le programme du candidat Fillon, Jean-Hugues Ratenon a dévoilé les grands axes de son projet. Entre la "protection des acquis", l’emploi et la lutte contre la vie chère et ses idées basées autour de l’économie de la mer, il souhaiterait la mise en place d’un revenu universel pour tous, une mesure "de relance par le pouvoir d’achat et la sécurité".
Au niveau de la santé, il souhaiterait faire de La Réunion "une terre de santé et de traitement et la lutte contre les addictions" mais également "briser le monopole des laboratoires pharmaceutiques en matière de soins, et développer la phytothérapie".
Jean-Hugues Ratenon, qui a rappelé les chiffres de la délinquance dans le département et du "fort sentiment d’insécurité chez les commerçants et dans la population en général", souhaiterait plus d’actions de prévention pour endiguer ces phénomènes.
Comme l’affirme le leader de Rézistans Égalité 974, l’ancien premier ministre souhaiterait revenir sur les 35h, supprimer l’ISF et augmenter la TVA de deux points, supprimer près de 500 000 emplois dans le service public, le report de l’âge de la retraite à 65 ans en 2020 ou encore réformer la Sécurité sociale avec la mise en application de sa mesure visant à dérembourser certains soins. "La fédération nationale de la mutualité française évalue à 20 milliards d’euros le coût supplémentaire pour les ménages français de l’application de la mesure Fillon et que cela représenterait un coût supplémentaire de 300 euros par personne et par an pour un couple avec un enfant", selon Jean-Hugues Ratenon.
Autre inquiétude affichée par ce dernier : la volonté affichée de François Fillon de mettre en place une allocation sociale unique (ASU). Une telle mesure serait pour Jean-Hugues Ratenon "l’antichambre de la remise en cause du droit des travailleurs à l’allocation chômage et du RSA activité". "Face à cela, notre rôle aujourd’hui c’est de nous mettre en ordre de bataille pour affronter le pire qui est à venir. Nous avons deux questions : Qui sont les fous qui oseront voter pour Fillon ? Qui sont les fous qui oseront voter pour le représentant du programme de Fillon sur la 5ème ?" s’interroge-t-il.
Après avoir critiqué sévèrement le programme du candidat Fillon, Jean-Hugues Ratenon a dévoilé les grands axes de son projet. Entre la "protection des acquis", l’emploi et la lutte contre la vie chère et ses idées basées autour de l’économie de la mer, il souhaiterait la mise en place d’un revenu universel pour tous, une mesure "de relance par le pouvoir d’achat et la sécurité".
Au niveau de la santé, il souhaiterait faire de La Réunion "une terre de santé et de traitement et la lutte contre les addictions" mais également "briser le monopole des laboratoires pharmaceutiques en matière de soins, et développer la phytothérapie".
Jean-Hugues Ratenon, qui a rappelé les chiffres de la délinquance dans le département et du "fort sentiment d’insécurité chez les commerçants et dans la population en général", souhaiterait plus d’actions de prévention pour endiguer ces phénomènes.