"Les grandes réformes sociales ont été faites par des gouvernements de gauche". L’étiquette est clairement assumée par Emeline K’Bidi d’autant que sa candidature a finalement reçu le soutien de la Nupes après un accord entre Insoumis et le PLR d’Huguette Bello. " Il a fallu beaucoup de travail et se parler pour arriver à un accord", indique la présidente de Région.
Les bons résultats de Jean-Luc Mélenchon au premier tour de la présidentielle avaient en effet fait espérer une dynamique de rassemblement. "Il y a un vrai vent du changement qui monte dans l’Hexagone. C’est un signe fort dans lequel on doit donner un sens sur le plan local", enjoint Patrick Lebreton. "Nous ne sommes pas en train de faire un mariage derrière la cuisine. Nous portons un vrai projet", assure-t-il. Un temps pour construire qu’il met en parallèle avec les "deux semaines prises pour ressortir le même gouvernement". Ici ce sont de "nouveaux visages", fait-il valoir.
Emeline K’Bidi, "qui n’a jamais pris de carte dans un parti", inscrit sa candidature dans "l’urgence sociale". Pour pourvoir agir, l’avocate entend décliner la notion d’éducation dans tous les axes de son programme. "De l’écologie au droit des femmes, les lois ne suffiront pas, c’est l’éducation de tous" qui primera. Sa notion d’éducation passe également par la valorisation des produits locaux, la lutte contre le diabète et l’obésité, la lutte contre l’habitat indigne, l’adaptation des lois à nos spécificités locales…
Son supplément, Jean-Bernard Maratchia, agriculteur et ancien président de la CGPER, prône le soutien de la filière canne compatible avec la souveraineté alimentaire. "Pour atteindre l'autosuffisance alimentaire, il faut que les politiques y croient. La compétence doit revenir à la Région pour être bien défendu", assure l’élu délégué à l’Agriculture de la Région.
Sur le plan social, " le cœur du changement ", il s'agira d'appuyer un système de retraite à 60 ans, de bloquer les prix des produits de première nécessité ou de prendre en compte les difficultés des hôpitaux.
Emeline K’Bidi en est consciente, l’éducation qu'elle vise demande "des moyens et une volonté politique". Des moyens qui existent, assure-t-elle. "On l’a vu quand il a été question d’urgence sanitaire ou dans un contexte de soutien de guerre", souligne-t-elle.
Les bons résultats de Jean-Luc Mélenchon au premier tour de la présidentielle avaient en effet fait espérer une dynamique de rassemblement. "Il y a un vrai vent du changement qui monte dans l’Hexagone. C’est un signe fort dans lequel on doit donner un sens sur le plan local", enjoint Patrick Lebreton. "Nous ne sommes pas en train de faire un mariage derrière la cuisine. Nous portons un vrai projet", assure-t-il. Un temps pour construire qu’il met en parallèle avec les "deux semaines prises pour ressortir le même gouvernement". Ici ce sont de "nouveaux visages", fait-il valoir.
Emeline K’Bidi, "qui n’a jamais pris de carte dans un parti", inscrit sa candidature dans "l’urgence sociale". Pour pourvoir agir, l’avocate entend décliner la notion d’éducation dans tous les axes de son programme. "De l’écologie au droit des femmes, les lois ne suffiront pas, c’est l’éducation de tous" qui primera. Sa notion d’éducation passe également par la valorisation des produits locaux, la lutte contre le diabète et l’obésité, la lutte contre l’habitat indigne, l’adaptation des lois à nos spécificités locales…
Son supplément, Jean-Bernard Maratchia, agriculteur et ancien président de la CGPER, prône le soutien de la filière canne compatible avec la souveraineté alimentaire. "Pour atteindre l'autosuffisance alimentaire, il faut que les politiques y croient. La compétence doit revenir à la Région pour être bien défendu", assure l’élu délégué à l’Agriculture de la Région.
Sur le plan social, " le cœur du changement ", il s'agira d'appuyer un système de retraite à 60 ans, de bloquer les prix des produits de première nécessité ou de prendre en compte les difficultés des hôpitaux.
Emeline K’Bidi en est consciente, l’éducation qu'elle vise demande "des moyens et une volonté politique". Des moyens qui existent, assure-t-elle. "On l’a vu quand il a été question d’urgence sanitaire ou dans un contexte de soutien de guerre", souligne-t-elle.