
Bien, c’est chose faite, Huguette Bello nous a dévoilé les grandes lignes de son projet Pour La Réunion ! Enfin c’est plutôt pour elle-même et pas du tout Pour La Réunion.
Un grand et merveilleux projet qui se limite à combattre son adversaire. Ses paroles au cours de son ITW ont le mérite d’une franchise assurée : « Notre adversaire c’est Didier Robert, c’est sa plateforme, c’est son bilan que nous allons combattre et rien d’autre ».
Ouah, quelle colère, quelle froideur, quelle rancune ! C’est donc cela qui intéresse Huguette Bello et rien d’autre, La Réunion ça ne l’intéresse pas, ce n’est pas son combat. Si on n’avait pas compris qu’elle se fiche royalement des Réunionnais, nous sommes désormais fixés parce qu’elle la dit haut et fort.
Elle veut un pays debout selon sa réplique, un pays debout et les hommes à terre c’est un paradoxe ; vous me direz nous sommes habitués question paradoxe avec cette dame, à en juger son alliance avec Annette, elle qui a toujours dit qu’elle ne s’unirait jamais avec un condamné, ou encore elle qui prône le rassemblement au second tour avec celui qui la jeté.
Cette même Huguette Bello qui s’enfonce en disant qu’elle prendra des mesures pour la formation et l’éducation et arête sa vision au BTS, autrement dit chers Réunionnais, pas la peine aller plus loin qu’un BTS , reste zot case . Elle renchérit en disant que le président de Région à une vision courte, c’est sure madame Bello que le BTS c’est une vision longue qui formera une Elite d’un pays debout, encore un paradoxe, la liste est longue et ça promet.
Quant à la division de la gauche, elle n’existe pas selon Bello qui compte sur l’indulgence de Patrick Lebreton et Paul Verges pour le second tour pendant qu’au même moment Lebreton déclare qu’il ne rejoint pas, que c’est lui qui conduit sans oublier de rappeler en toute ironie ses dernières victoires comparé aux derniers échecs de Bello et Anette.
Qu’elle n’est pas belle l’union faux cul de la gauche ? Un avant-gout de ce qui les divise sur un air de campagne qui les diviseront davantage. Que voulez-vous, ils préfèrent être cocus que pauvres, c’est à la mode à gauche.
Sylvain Dijoux
Un grand et merveilleux projet qui se limite à combattre son adversaire. Ses paroles au cours de son ITW ont le mérite d’une franchise assurée : « Notre adversaire c’est Didier Robert, c’est sa plateforme, c’est son bilan que nous allons combattre et rien d’autre ».
Ouah, quelle colère, quelle froideur, quelle rancune ! C’est donc cela qui intéresse Huguette Bello et rien d’autre, La Réunion ça ne l’intéresse pas, ce n’est pas son combat. Si on n’avait pas compris qu’elle se fiche royalement des Réunionnais, nous sommes désormais fixés parce qu’elle la dit haut et fort.
Elle veut un pays debout selon sa réplique, un pays debout et les hommes à terre c’est un paradoxe ; vous me direz nous sommes habitués question paradoxe avec cette dame, à en juger son alliance avec Annette, elle qui a toujours dit qu’elle ne s’unirait jamais avec un condamné, ou encore elle qui prône le rassemblement au second tour avec celui qui la jeté.
Cette même Huguette Bello qui s’enfonce en disant qu’elle prendra des mesures pour la formation et l’éducation et arête sa vision au BTS, autrement dit chers Réunionnais, pas la peine aller plus loin qu’un BTS , reste zot case . Elle renchérit en disant que le président de Région à une vision courte, c’est sure madame Bello que le BTS c’est une vision longue qui formera une Elite d’un pays debout, encore un paradoxe, la liste est longue et ça promet.
Quant à la division de la gauche, elle n’existe pas selon Bello qui compte sur l’indulgence de Patrick Lebreton et Paul Verges pour le second tour pendant qu’au même moment Lebreton déclare qu’il ne rejoint pas, que c’est lui qui conduit sans oublier de rappeler en toute ironie ses dernières victoires comparé aux derniers échecs de Bello et Anette.
Qu’elle n’est pas belle l’union faux cul de la gauche ? Un avant-gout de ce qui les divise sur un air de campagne qui les diviseront davantage. Que voulez-vous, ils préfèrent être cocus que pauvres, c’est à la mode à gauche.
Sylvain Dijoux