L'année 2015 sera celle des premiers frémissements dans la construction du viaduc de la nouvelle route du littoral.
Plusieurs phases son attendues. La plus visible depuis la côte jusqu'à maintenant réside dans la campagne de sondages géotechniques réalisés en mer par la plate-forme Adriana. Les Réunionnais continueront de la voir jusqu'en septembre prochain. A ce jour, les sondages ont été effectués au droit des futurs emplacements de 21 piles (48 en tout). 50% du chemin est réalisé. Un préalable avant que l'artillerie lourde ne soit déployée.
Le plus gros du travail se fera en effet, en amont, sur le plancher des vaches. Deux usines de préfabrication seront installées à l'arrière du Port Est. Une première sera dédiée au tablier qui coiffera les 5,4 km de viaduc et une seconde dédiée à la préfabrication des piles. Trois centrales à béton complèteront le dispositif au sol. Leur mission : produire 1.300 voussoirs, ces éléments de béton précontraint qui formeront les arcades du viaduc.
Du visible in situ dès novembre à la Grande Chaloupe
La troisième phase qui donnera corps à ce début de construction du viaduc courant 2015 tient dans la construction sur-mesure d'une méga-barge de transport et de pose. Ce navire de 107m de long et 44 de large - la taille d'un terrain de football - permettra de transporter en mer et de positionner avec précision les futurs éléments de l'ouvrage. En construction depuis janvier, elle rejoindra La Réunion début 2016, date de la pose des premiers éléments des piles en mer.
Plus proche dans le temps, l'immersion des modules de test pour l'éco-conception des piles commence le mois prochain. Même timing pour la construction au Port Est d'un nouveau quai dédié à la sortie d'usine des éléments préfabriqués. Et en novembre 2015, le premier véritable coup de pioche de l'ouvrage sera donné avec les premiers travaux au niveau de la culée sud du viaduc, côté Grande Chaloupe.
Après 54 mois d'efforts produits par 800 personnels, sous-traitance comprise, le viaduc à 715 millions d'euros devrait être livré en juillet 2018.
Plusieurs phases son attendues. La plus visible depuis la côte jusqu'à maintenant réside dans la campagne de sondages géotechniques réalisés en mer par la plate-forme Adriana. Les Réunionnais continueront de la voir jusqu'en septembre prochain. A ce jour, les sondages ont été effectués au droit des futurs emplacements de 21 piles (48 en tout). 50% du chemin est réalisé. Un préalable avant que l'artillerie lourde ne soit déployée.
Le plus gros du travail se fera en effet, en amont, sur le plancher des vaches. Deux usines de préfabrication seront installées à l'arrière du Port Est. Une première sera dédiée au tablier qui coiffera les 5,4 km de viaduc et une seconde dédiée à la préfabrication des piles. Trois centrales à béton complèteront le dispositif au sol. Leur mission : produire 1.300 voussoirs, ces éléments de béton précontraint qui formeront les arcades du viaduc.
Du visible in situ dès novembre à la Grande Chaloupe
La troisième phase qui donnera corps à ce début de construction du viaduc courant 2015 tient dans la construction sur-mesure d'une méga-barge de transport et de pose. Ce navire de 107m de long et 44 de large - la taille d'un terrain de football - permettra de transporter en mer et de positionner avec précision les futurs éléments de l'ouvrage. En construction depuis janvier, elle rejoindra La Réunion début 2016, date de la pose des premiers éléments des piles en mer.
Plus proche dans le temps, l'immersion des modules de test pour l'éco-conception des piles commence le mois prochain. Même timing pour la construction au Port Est d'un nouveau quai dédié à la sortie d'usine des éléments préfabriqués. Et en novembre 2015, le premier véritable coup de pioche de l'ouvrage sera donné avec les premiers travaux au niveau de la culée sud du viaduc, côté Grande Chaloupe.
Après 54 mois d'efforts produits par 800 personnels, sous-traitance comprise, le viaduc à 715 millions d'euros devrait être livré en juillet 2018.
