
"Au terme de cette année 2009, le comité souhaite d’abord exprimer sa satisfaction d’avoir vu progresser l’usage du vélo à La Réunion, tant sur le plan du loisir que sur celui des déplacements quotidiens", débute Philippe de Cotte, président du CRPV (Comité Réunionnais de Promotion du Vélo).
Un enquête faite par la DDE en 2007 auprès des usagers du vélo montre que les cyclistes sont de plus en plus nombreux et que la pratique est régulière: 2514 cyclistes par jour en semaine et 4.977 le dimanche, soit +25% qu’en 2002, à la dernière enquête.
"Les gens qui pédalent en semaine vont travailler. C’est notamment le cas dans la zone portoise. Il y a également du monde sur le littoral Nord et Est où les aménagements sont propices à pédaler en toute sécurité", explique Philippe de Cotte.
Et si les projets sont encourageants concernant le littoral de l’île avec la route des Tamarins qui viendrait diminuer de manière considérable la circulation du littoral ouest, ou encore le projet de déviation du côté de la ville de Saint-Joseph, il n’en est pas de même pour les centres-villes.
A ce sujet, le président appelle particulièrement à la responsabilité des élus: "Le problème est de leur faire prendre conscience qu’il faut réaliser plusieurs phases en même temps. Inciter les gens à prendre le vélo sans avoir prévu les infrastructures n’est pas une bonne chose". Et des solutions, il ne cesse d’y réfléchir et d’en proposer.
Des plus banales comme la mise en place de trottoirs accessibles aux cyclistes "comme la rue de Nice à Saint-Denis mais il en faut partout". Philippe de Cotte propose également de ne pas négliger les aménagements de parking pour pouvoir garer son vélo mais aussi de généraliser une partie des sens interdit aux cyclistes. "Cette utilisation du contre-sens marche très bien dans certaines grandes villes de métropole". Enfin, le président espère que pour les quartiers environnants des centres-villes, la possibilité de descendre de chez soi à vélo puis d’utiliser les transports en commun pour remonter pourra être élargie à tous les réseaux bus en prenant modèle sur Saint-Paul.
Philippe de Cotte a beaucoup d’espoir sur le fait que le vélo ne sera pas simplement une pratique loisir mais qu’il deviendra un "réflexe culturel".
Un enquête faite par la DDE en 2007 auprès des usagers du vélo montre que les cyclistes sont de plus en plus nombreux et que la pratique est régulière: 2514 cyclistes par jour en semaine et 4.977 le dimanche, soit +25% qu’en 2002, à la dernière enquête.
"Les gens qui pédalent en semaine vont travailler. C’est notamment le cas dans la zone portoise. Il y a également du monde sur le littoral Nord et Est où les aménagements sont propices à pédaler en toute sécurité", explique Philippe de Cotte.
Et si les projets sont encourageants concernant le littoral de l’île avec la route des Tamarins qui viendrait diminuer de manière considérable la circulation du littoral ouest, ou encore le projet de déviation du côté de la ville de Saint-Joseph, il n’en est pas de même pour les centres-villes.
A ce sujet, le président appelle particulièrement à la responsabilité des élus: "Le problème est de leur faire prendre conscience qu’il faut réaliser plusieurs phases en même temps. Inciter les gens à prendre le vélo sans avoir prévu les infrastructures n’est pas une bonne chose". Et des solutions, il ne cesse d’y réfléchir et d’en proposer.
Des plus banales comme la mise en place de trottoirs accessibles aux cyclistes "comme la rue de Nice à Saint-Denis mais il en faut partout". Philippe de Cotte propose également de ne pas négliger les aménagements de parking pour pouvoir garer son vélo mais aussi de généraliser une partie des sens interdit aux cyclistes. "Cette utilisation du contre-sens marche très bien dans certaines grandes villes de métropole". Enfin, le président espère que pour les quartiers environnants des centres-villes, la possibilité de descendre de chez soi à vélo puis d’utiliser les transports en commun pour remonter pourra être élargie à tous les réseaux bus en prenant modèle sur Saint-Paul.
Philippe de Cotte a beaucoup d’espoir sur le fait que le vélo ne sera pas simplement une pratique loisir mais qu’il deviendra un "réflexe culturel".
