L'Afrique du Sud s'est résolue à suspendre, jusqu'à nouvel ordre, la campagne de vaccination avec les doses du vaccin AstraZeneca. Les études menées mettent en lumière que "la mutation du virus détectée en Afrique du Sud peut se transmettre à la population déjà vaccinée".
En considérant cette nouvelle donnée, le ministère de la Santé va adapter sa stratégie vaccinale, promet Olivier Véran.
"Aujourd'hui, 99% des souches virales qui circulent en France métropolitaine ne correspondant pas au variant sud-africain. Donc il n'y a pas lieu de changer notre stratégie vaccinale. Et j'invite les Français à continuer de se protéger avec le Pfizer, le Moderna, lorsqu'ils ont 75 ans et plus. Où les soignants , les pompiers, les aides- à domicile de moins de 65 ans avec le Astrazeneca", affirme Olivier Véran.
"Nous réfléchissons à renforcer la protection des soignants par d'autres vaccins"
"Par contre, je porte un regard particulier sur la situation en Outre-mer, dans des territoires où on peut trouver davantage de variant sud-africain, cela peut éventuellement nous conduire à changer la stratégie pour protéger notamment les soignants qui exercent dans les hôpitaux. Je pense à Mayotte, j'y travaille avec mon homologue à l'Outre-mer Sébastien Lecornu", explique le ministre avant d'estimer que le vaccin Astrazeneca n'est sans doute plus à envisager dans les territoires où le variant-sud africain prend le pas sur le souche initiale du Covid-19. C'est le cas de Mayotte évidemment où le taux d'incidence explose et par ricochet, du fait des liaisons aériennes importantes, La Réunion où 11 personnes contaminées au variant sud-africain ont été détectées à ce jour.
Ce qui fait dire au ministre de la Santé que "nous réfléchissons à renforcer la protection des soignants par d'autres vaccins de type ARN-Messager qui semblent plus efficaces sur le variant sud-africain et qu'à mesure que les données scientifiques nous parviennent, nous sommes amenés à faire évoluer notre stratégie."
En considérant cette nouvelle donnée, le ministère de la Santé va adapter sa stratégie vaccinale, promet Olivier Véran.
"Aujourd'hui, 99% des souches virales qui circulent en France métropolitaine ne correspondant pas au variant sud-africain. Donc il n'y a pas lieu de changer notre stratégie vaccinale. Et j'invite les Français à continuer de se protéger avec le Pfizer, le Moderna, lorsqu'ils ont 75 ans et plus. Où les soignants , les pompiers, les aides- à domicile de moins de 65 ans avec le Astrazeneca", affirme Olivier Véran.
"Nous réfléchissons à renforcer la protection des soignants par d'autres vaccins"
"Par contre, je porte un regard particulier sur la situation en Outre-mer, dans des territoires où on peut trouver davantage de variant sud-africain, cela peut éventuellement nous conduire à changer la stratégie pour protéger notamment les soignants qui exercent dans les hôpitaux. Je pense à Mayotte, j'y travaille avec mon homologue à l'Outre-mer Sébastien Lecornu", explique le ministre avant d'estimer que le vaccin Astrazeneca n'est sans doute plus à envisager dans les territoires où le variant-sud africain prend le pas sur le souche initiale du Covid-19. C'est le cas de Mayotte évidemment où le taux d'incidence explose et par ricochet, du fait des liaisons aériennes importantes, La Réunion où 11 personnes contaminées au variant sud-africain ont été détectées à ce jour.
Ce qui fait dire au ministre de la Santé que "nous réfléchissons à renforcer la protection des soignants par d'autres vaccins de type ARN-Messager qui semblent plus efficaces sur le variant sud-africain et qu'à mesure que les données scientifiques nous parviennent, nous sommes amenés à faire évoluer notre stratégie."