
Christian Maillaud et sa compagne Janett Seemann (Photo DR)
Christian Maillaud, interpellé le 10 juillet 2019 au Venezuela après une cavale de près de 10 ans, a été extradé vers la France en décembre dernier. Incarcéré à la prison de Saintes, il va être rejugé à sa demande ce vendredi 31 janvier devant le tribunal correctionnel de Saintes.
Déjà en cavale, l'ancien gendarme de 52 ans avait été jugé en 2009 pour des faits d'enlèvement et avait écopé d'une peine de 1 an de prison. Condamné par deux fois pour enlèvement ou projets d'enlèvement d'enfants, mais absent à chacun de ses procès, ce combattant autoproclamé des réseaux pédophiles, Christian Maillot va devoir s'expliquer ce vendredi devant la justice comme le rapporte LeParisien.
L'homme, qui prétend avoir fait partie des forces spéciales est, en 2004, condamné une première fois dans une affaire révélant des pratiques douteuses au sein d'une société de vigiles sur l'île de La Réunion. Il décide ensuite d'apporter son aide à des mères de famille dont les enfants seraient aux mains de "réseaux criminels pédophiles" alors que les enquêteurs mettent en lumière les problèmes psychologiques des mères.
De nombreux partisans de Christian Maillaud se sont donné rendez-vous sur les marches du tribunal afin de soutenir celui qu'il estime avoir été emprisonné à tort. Des mesures de sécurité ont été prévues afin d'éviter tous débordements précise LeParisien.
Déjà en cavale, l'ancien gendarme de 52 ans avait été jugé en 2009 pour des faits d'enlèvement et avait écopé d'une peine de 1 an de prison. Condamné par deux fois pour enlèvement ou projets d'enlèvement d'enfants, mais absent à chacun de ses procès, ce combattant autoproclamé des réseaux pédophiles, Christian Maillot va devoir s'expliquer ce vendredi devant la justice comme le rapporte LeParisien.
L'homme, qui prétend avoir fait partie des forces spéciales est, en 2004, condamné une première fois dans une affaire révélant des pratiques douteuses au sein d'une société de vigiles sur l'île de La Réunion. Il décide ensuite d'apporter son aide à des mères de famille dont les enfants seraient aux mains de "réseaux criminels pédophiles" alors que les enquêteurs mettent en lumière les problèmes psychologiques des mères.
De nombreux partisans de Christian Maillaud se sont donné rendez-vous sur les marches du tribunal afin de soutenir celui qu'il estime avoir été emprisonné à tort. Des mesures de sécurité ont été prévues afin d'éviter tous débordements précise LeParisien.