2,2 millions d’euros. C’est le dédommagement que réclame la société de transport située aux Avirons LTM Doogy Reeta. Son gérant, Jonathan Rivière, par ailleurs déclaré candidat des législatives sur la 7ème circonscription, a décidé de porter le conflit qui l’oppose au groupe SBTPC devant la justice.
Après un report de l’audience prévue le 10 mai dernier, le tribunal de commerce devait examiner, ce mercredi, le recours en référé du chef d'entreprise. Le procès a finalement été renvoyé au 14 juin prochain. Pour Jonathan Rivière, "la SBTPC essaye de contester la tenue du procès devant le tribunal de commerce, estimant que le tribunal de commerce est incompétent dans ce conflit".
Le transporteur avait signé en 2015 un contrat l’engageant à livrer des roches pour le chantier de la NRL auprès du groupement. La SBTPC avait mis fin à ce contrat l’an dernier, au mois d’août, provoquant des actions assez osées du jeune chef d’entreprise dans les locaux de la SBTPC. Le jeune chef d'entreprise avait filmé les échanges très vifs qui s'étaient déroulés dans les locaux du groupe de BTP.
Jonathan Rivière accuse la SBTPC d’avoir mis fin prématurément au contrat le liant au donneur d'ordre. Ce contrat portait sur la livraison de 230.000 tonnes de roches à livrer pour un montant de 4,8 millions d’euros. Un deal qui sera stoppé net dès les 55.000 tonnes de roches fournies, malgré des avenants signés en cours de route, mettant dans l’embarras l’entrepreneur qui assure avoir dû licencier près de 40 employés et plaçant son entreprise dans le rouge.
Après un report de l’audience prévue le 10 mai dernier, le tribunal de commerce devait examiner, ce mercredi, le recours en référé du chef d'entreprise. Le procès a finalement été renvoyé au 14 juin prochain. Pour Jonathan Rivière, "la SBTPC essaye de contester la tenue du procès devant le tribunal de commerce, estimant que le tribunal de commerce est incompétent dans ce conflit".
Le transporteur avait signé en 2015 un contrat l’engageant à livrer des roches pour le chantier de la NRL auprès du groupement. La SBTPC avait mis fin à ce contrat l’an dernier, au mois d’août, provoquant des actions assez osées du jeune chef d’entreprise dans les locaux de la SBTPC. Le jeune chef d'entreprise avait filmé les échanges très vifs qui s'étaient déroulés dans les locaux du groupe de BTP.
Jonathan Rivière accuse la SBTPC d’avoir mis fin prématurément au contrat le liant au donneur d'ordre. Ce contrat portait sur la livraison de 230.000 tonnes de roches à livrer pour un montant de 4,8 millions d’euros. Un deal qui sera stoppé net dès les 55.000 tonnes de roches fournies, malgré des avenants signés en cours de route, mettant dans l’embarras l’entrepreneur qui assure avoir dû licencier près de 40 employés et plaçant son entreprise dans le rouge.