Il tire plusieurs coups de feu, rue de la piscine au Chaudron puis s'enfuit. Trois personnes sont blessées, alors qu'elles n'avaient rien à voir avec le conflit, dont une grièvement qui a dû être médicalisée sur place. Les blessés âgés de 67, 58 et 54 ans sont ensuite transportés à l’hôpital. Des personnes ont été auditionnées depuis les faits afin de déterminer les circonstances de cette agression.
Après 5 jours de cavale, sur les conseils de son avocat, le tireur de 26 ans s'est rendu au commissariat de Malartic. Selon nos informations, il se terrait dans une cave, craignant des représailles. Après deux jours de garde à vue, il est déféré ce samedi au tribunal judiciaire de Saint-Denis afin d'être présenté devant un juge. Selon son avocat, Me Sébastien Navarro, le suspect n’a tiré qu’à une seule reprise. Selon son client, il s’agit d’un geste de défense.
Mis en examen par le juge d'instruction pour tentative d'assassinat, le juge des libertés et de la détention a décidé de le placer en détention provisoire le temps de l'instruction. Une décision prise sur demande du procureur de la République pour éviter le trouble à l’ordre public et compte tenu de la dangerosité de l’individu. Celui-ci a déjà été condamné par la cour d’assises des mineurs de Chambéry, il est donc en récidive. Pour cet acte, le code pénal prévoit la réclusion criminelle à perpétuité.
Après 5 jours de cavale, sur les conseils de son avocat, le tireur de 26 ans s'est rendu au commissariat de Malartic. Selon nos informations, il se terrait dans une cave, craignant des représailles. Après deux jours de garde à vue, il est déféré ce samedi au tribunal judiciaire de Saint-Denis afin d'être présenté devant un juge. Selon son avocat, Me Sébastien Navarro, le suspect n’a tiré qu’à une seule reprise. Selon son client, il s’agit d’un geste de défense.
Mis en examen par le juge d'instruction pour tentative d'assassinat, le juge des libertés et de la détention a décidé de le placer en détention provisoire le temps de l'instruction. Une décision prise sur demande du procureur de la République pour éviter le trouble à l’ordre public et compte tenu de la dangerosité de l’individu. Celui-ci a déjà été condamné par la cour d’assises des mineurs de Chambéry, il est donc en récidive. Pour cet acte, le code pénal prévoit la réclusion criminelle à perpétuité.