Accusé d’actes de barbaries sur son beau-fils de trois ans, un homme a été condamné hier à 10 ans de prison pour viol aggravé. Sa compagne, la mère de la victime, écope de son côté de deux ans pour non-dénonciation de ces violences.
Une décision qui a provoqué l’incompréhension des deux avocates des parties civiles nous apprend le JIR car dès le début de cette affaire, « le Président Michel Carrue avait déjà donné une indication ». Jeudi matin, ce dernier avait en effet requis une peine de 20 ans de prison à l’encontre du ti-père.
Conséquence de ses maltraitances, le garçonnet a dû subir plusieurs interventions chirurgicales. Il avait notamment une plaie au rectum provoquée par le manche d’un rasoir jetable.
Si le ti-père a reconnu les faits durant sa garde à vue, il a nié les faits qui lui étaient reprochés lors du procès.