L’objectif sous-jacent de cet évènement est d’associer et de mobiliser les jeunes des quartiers. Ce projet de développement culturel permet de sensibiliser et d’initier notre jeunesse aux cultures urbaines. Le chorégraphe Kenji a insisté sur le fait qu’il s’agissait d’un projet de proximité qui permettrait de dénicher les talents et de leur donner une opportunité d’émerger.
Cette chance, Kenji l’a eue le jour où, jeune danseur, il a participé à une battle et s’est fait repérer par un chorégraphe connu. Pour vivre sa passion, il a quitté son île, suivi un cursus de formation. Et in fine avec sa volonté, son courage et son abnégation, il a pu intégrer différentes compagnies de danse. Il a aussi joué dans plusieurs pays, est devenu chorégraphe à son tour, a créé sa propre compagnie. De retour dans son île, tout en continuant de danser, Kenji a fait de la transmission de son art au jeune public une priorité forte.
C’est donc avec le soutien de la ville de Saint-André que le chorégraphe a animé plus de 10 ateliers de 2h30 avec ces jeunes dans les quartiers de Cambuston, de Fayard et du centre- ville pour une initiation aux danses urbaines.
Cette première étape donnera lieu à une restitution samedi 23 octobre à 18 heures en présence du maire qui inaugurera le début des festivités, avant que s’enchaînent les 4 spectacles prévus au programme.
Ces mêmes jeunes participeront dimanche 24 à la réalisation d’une fresque au Colosse avec l’artiste Simon Teroy.
A 14h viendra le moment tant attendu de la battle : 6 crews de l’Ile s’affronteront sur scène pour le plus grand plaisir du public.
Ce premier festival a vocation à s’intensifier au fil des années et a placé Saint-André comme une terre d’accueil propice de la culture urbaine sous toutes ses formes.
Cette chance, Kenji l’a eue le jour où, jeune danseur, il a participé à une battle et s’est fait repérer par un chorégraphe connu. Pour vivre sa passion, il a quitté son île, suivi un cursus de formation. Et in fine avec sa volonté, son courage et son abnégation, il a pu intégrer différentes compagnies de danse. Il a aussi joué dans plusieurs pays, est devenu chorégraphe à son tour, a créé sa propre compagnie. De retour dans son île, tout en continuant de danser, Kenji a fait de la transmission de son art au jeune public une priorité forte.
C’est donc avec le soutien de la ville de Saint-André que le chorégraphe a animé plus de 10 ateliers de 2h30 avec ces jeunes dans les quartiers de Cambuston, de Fayard et du centre- ville pour une initiation aux danses urbaines.
Cette première étape donnera lieu à une restitution samedi 23 octobre à 18 heures en présence du maire qui inaugurera le début des festivités, avant que s’enchaînent les 4 spectacles prévus au programme.
Ces mêmes jeunes participeront dimanche 24 à la réalisation d’une fresque au Colosse avec l’artiste Simon Teroy.
A 14h viendra le moment tant attendu de la battle : 6 crews de l’Ile s’affronteront sur scène pour le plus grand plaisir du public.
Ce premier festival a vocation à s’intensifier au fil des années et a placé Saint-André comme une terre d’accueil propice de la culture urbaine sous toutes ses formes.