En métropole, certains ont trouvé la parade: faire appel à la bonne volonté d’enseignants, retraités et étudiants. Certaines communes assureront donc tant bien que mal le service minimum.
Mais de manière générale, le débat est houleux et la loi sur le service minimum, obligatoire depuis la rentrée de septembre en cas de grève en primaire, est mise en mal une nouvelle fois. C’est le bras de fer entre le gouvernement et les élus locaux...
Après l’avoir difficilement mis en place aux précédentes manifestations, la mairie de Saint-Denis a, cette fois, décidé de ne pas assurer ce SMA. "Il est techniquement impossible d’assurer dans des conditions de sécurité satisfaisantes le SMA" assure Rachel Mauve, directrice du projet éducatif global de la ville de Saint-Denis.
Les raisons avancées sont multiples: manque de personnel, manque de moyens et manque de sécurité. "Même nos agents territoriaux sont concernés, ce qui n'était pas le cas auparavant. Il y a 20 000 enfants scolarisés et 86 écoles à Saint-Denis, nous préférons appliquer le principe de précaution", a expliqué Rachel Mauve.
Les parents vont donc devoir s’organiser, tel est le mot d'ordre pour demain, journée de mobilisation de l'éducation nationale mais aussi des impôts, du trésor public, du personnel de l'Insee, des transporteurs...
Mais de manière générale, le débat est houleux et la loi sur le service minimum, obligatoire depuis la rentrée de septembre en cas de grève en primaire, est mise en mal une nouvelle fois. C’est le bras de fer entre le gouvernement et les élus locaux...
Après l’avoir difficilement mis en place aux précédentes manifestations, la mairie de Saint-Denis a, cette fois, décidé de ne pas assurer ce SMA. "Il est techniquement impossible d’assurer dans des conditions de sécurité satisfaisantes le SMA" assure Rachel Mauve, directrice du projet éducatif global de la ville de Saint-Denis.
Les raisons avancées sont multiples: manque de personnel, manque de moyens et manque de sécurité. "Même nos agents territoriaux sont concernés, ce qui n'était pas le cas auparavant. Il y a 20 000 enfants scolarisés et 86 écoles à Saint-Denis, nous préférons appliquer le principe de précaution", a expliqué Rachel Mauve.
Les parents vont donc devoir s’organiser, tel est le mot d'ordre pour demain, journée de mobilisation de l'éducation nationale mais aussi des impôts, du trésor public, du personnel de l'Insee, des transporteurs...