Pour appréhender la situation, il faut savoir, d’une part, qu’il habite dans un lotissement, d’autre part, que la ruelle en question est une boucle qui n’intéresse que les habitations immédiates Il n’y que peu de circulation et chacun ici apprécie cette touche esthétique.
Pour autant, nos fins limiers de l’urbanisme ont raison sur le plan juridique car les copropriétaires du Grand Large 2 ont rétrocédé en 2001 les espaces communs à la commune de la Possession qui en est maintenant propriétaire.
Mais, à bien y regarder, ne serait-ce pas là un zèle excessif quand on connaît les dessous de l’urbanisme à la Possession ?
A-t-on entendu les employés de l’urbanisme, sous la tutelle des élus
– S’offusquer des empiètements illégaux et des constructions illégales sur le domaine public dans le cadre du lotissement Jujube (voir photo ci-dessous) ?
– S’offusquer de l’empiètement sur le domaine communal du lotissement "Entre Ciel et Terre" (limitrophe au lotissement Jujube), qui a été régularisé par la suite ?
– Dénoncer les centaines de constructions illégales, qu’elles se trouvent sur le domaine public ou privé ?
– Dénoncer les constructions illégales de certains anciens élus ?
-…………..
Enfin, le service de l’urbanisme sait-il que la commune a empiété elle-même sur un terrain privé, sans autorisation du propriétaire, pour agrandir la rue Edmond Albius ?
Apparemment, à la Possession, on ne sait pas que "l’égalité devant la loi" est le principe fondamental de tout système démocratique selon lequel tout individu doit être traité de la même façon. Le maire n’est-il pas officier de police judiciaire ? Pour faire quoi ?
Il y a bel et bien deux poids, deux mesures, dans le traitement des administrés !
Pour l’ADIP : Jean Paul FOIS