Les prix du carburant baissent pour la seconde fois consécutive en moins d’un mois. Ainsi, le sans-plomb passe de 1,44 € à 1,39 €, le gazole de 1,15 € à 1,10 € et la bouteille de gaz de 20,94 € à 20 €. Les autres baisses concernent le fioul domestique et le pétrole lampant de 0,88 € à 0,81 €.
Cette décision est intervenue après quatre heures d’échanges et de discussion. C’est une délégation des gérants de stations-service conduite par son président, Gérard Lebon qui s’est d’abord exprimée. Ils ont quitté la préfecture vers 18h50.
“Nous avons eu des gens qui nous ont écouté. J’ai dit ce que j’avais à dire. J’ai pris des positions pour l’ensemble des gérants. Les négociations continuent, j’espère qu’elles aboutiront”, a dit Gérard Lebon.
Selon le communiqué de la préfecture, les gérants de stations-service ont accepté de baisser leur marge de 2 centimes et les pétroliers de trois centimes.
Les pétroliers qui ont fait une pause pour se concerter, sont partis de la préfecture, presqu’une heure plus tard. “Nous sommes à la limite” a dit Bertrand d’Abadie, vice-président du Comité des importateurs d’hydrocarbures.
Le patron de Tamoil a par ailleurs, rappelé que les pétroliers font un effort de 16 millions d’euros “depuis le mois d’août”.
De son côté, Bertrand d’Abadie reconnaît toutefois que la pression est également forte sur le préfet.
Il est vrai que le contexte local d’une part, et l’atmosphère qui règne en Guyane d’autre part, ont ajouté à cette pression. Le communiqué du secrétariat d’Etat chargé de l’Outre-mer, envoyé en début d’après-midi, y a aussi contribué.
En effet dans ce document, Yves Jégo annonçait une baisse du prix du carburant à La Réunion, et proposait 10 millions d’€ aux collectivités locales de Guyane pour qu’elles acceptent de diminuer la Taxe spéciale sur la consommation de carburant (TSCC) de 20 cts d’€ (de 70 cts à 50 cts). Yves Jégo a essuyé un refus.
Ce soir, les négociations se poursuivent en Guyane…
Cette décision est intervenue après quatre heures d’échanges et de discussion. C’est une délégation des gérants de stations-service conduite par son président, Gérard Lebon qui s’est d’abord exprimée. Ils ont quitté la préfecture vers 18h50.
“Nous avons eu des gens qui nous ont écouté. J’ai dit ce que j’avais à dire. J’ai pris des positions pour l’ensemble des gérants. Les négociations continuent, j’espère qu’elles aboutiront”, a dit Gérard Lebon.
Selon le communiqué de la préfecture, les gérants de stations-service ont accepté de baisser leur marge de 2 centimes et les pétroliers de trois centimes.
Les pétroliers qui ont fait une pause pour se concerter, sont partis de la préfecture, presqu’une heure plus tard. “Nous sommes à la limite” a dit Bertrand d’Abadie, vice-président du Comité des importateurs d’hydrocarbures.
Le patron de Tamoil a par ailleurs, rappelé que les pétroliers font un effort de 16 millions d’euros “depuis le mois d’août”.
De son côté, Bertrand d’Abadie reconnaît toutefois que la pression est également forte sur le préfet.
Il est vrai que le contexte local d’une part, et l’atmosphère qui règne en Guyane d’autre part, ont ajouté à cette pression. Le communiqué du secrétariat d’Etat chargé de l’Outre-mer, envoyé en début d’après-midi, y a aussi contribué.
En effet dans ce document, Yves Jégo annonçait une baisse du prix du carburant à La Réunion, et proposait 10 millions d’€ aux collectivités locales de Guyane pour qu’elles acceptent de diminuer la Taxe spéciale sur la consommation de carburant (TSCC) de 20 cts d’€ (de 70 cts à 50 cts). Yves Jégo a essuyé un refus.
Ce soir, les négociations se poursuivent en Guyane…