Plus gras, plus sucrés et alcoolisés, les repas de fin d’année riment souvent avec excès. Selon une étude suédoise, le risque d’infarctus du myocarde augmente davantage au réveillon de Noël. A 22h, un pic de 37% par rapport à la normale est même atteint, rapporte le Figaro.
L’étude publiée dans le Bristish medical journal relève une hausse de ce risque pendant les fêtes de fin d’année de 15% et cette probabilité augmente de 20 % pour la Saint-Sylvestre.
Les personnes de plus de 75 ans, souffrant du diabète, ou ayant des problèmes cardiaques sont les plus à risque. Une étude réalisée entre 1998 et 2013, sur 283 000 personnes comptabilisant les victimes d’infarctus hospitalisées mais qui ne prend pas en compte celles décédées à domicile. L’excès d’alcool et de nourriture est mis en avant par les chercheurs mais sans parvenir à déceler les causes précises de cette forte augmentation d’infarctus à Noël.