Deux ans après l’installation du Grand Port Maritime de la Réunion (GPMDLR), l’heure est au bilan. Après une année 2013 en baisse, le trafic aéroportuaire du Port Réunion a augmenté de 6% en 2014.
Une hausse nettement observée pour le trafic conteneurs, qui représente près de la moitié de l’ensemble du trafic au Port Réunion. Aussi bien en importation qu’en exportation, il a en effet grimpé de 15%. Mais c’est le transbordement qui signe un véritable envol avec 15.000 EVP de plus en 2014, soit un bond de 138%.
Le trafic de passagers chute de 36%
Moins de passagers, c’est aussi l’un des chiffres à retenir du bilan. L’année dernière, 21.662 passagers de croisières inter-îles ont mis les pieds à la Réunion : C’est 36% de moins qu’en 2013. Un chute qui s’explique entres autres par l’arrêt de service du Mauitius Troschettia. Le trafic des vracs solides (charbon, céréales,…) connaît également un recul de 5%.
En 2015, le GPMDLR poursuit son relooking, surtout marquée par l’extension du Port-Est, pour laquelle près de 27 millions d’euros ont été investis en 2014. Cette année, près de 53 millions d’euros supplémentaires devraient être consacrés à ce chantier de grande ampleur, dont le coût total atteint les 80 millions d’euros.
Une darse agrandie et 3 nouveaux portiques
Un chantier qui comprend la nouvelle darse de plaisance qui sera allongée de 160m et approfondie de 15.5m pour accueillir de plus gros navires dès cette année. Le Port-Est sera également doté de trois nouveaux portiques à conteneurs permettant de recevoir des bateaux de 9.000 EVP d’ici 2016, contre 4.000 EVP aujourd’hui. Des équipements loin d’être superflus quand on se souvient qu’un portique était tombé en panne l’année dernière, alors même qu’un autre était déjà hors-service.
L’objectif du "projet stratégique 2014-2018" est multiple : Positionner l’île comme hub de transbordement régional, valoriser le foncier, mais aussi devenir une référence aéroportuaire de la zone en développant une démarche d’écologie et continuer à développer l’interface entre la ville et le port. Jean-Frédéric Laurent confie qu’"un travail est déjà mené avec la mairie et le TCO pour arriver à établir les besoins des uns et des autres".
Quant à l’épineux dossier de la Nouvelle Route du Littoral, le président du directoire du GPMDLR affirme que l’impact du chantier de la NRL a été déjà mesuré : "Nous avons prévu des zones d’accueil des entreprises mobilisées sur le chantier".
Une hausse nettement observée pour le trafic conteneurs, qui représente près de la moitié de l’ensemble du trafic au Port Réunion. Aussi bien en importation qu’en exportation, il a en effet grimpé de 15%. Mais c’est le transbordement qui signe un véritable envol avec 15.000 EVP de plus en 2014, soit un bond de 138%.
Le trafic de passagers chute de 36%
Moins de passagers, c’est aussi l’un des chiffres à retenir du bilan. L’année dernière, 21.662 passagers de croisières inter-îles ont mis les pieds à la Réunion : C’est 36% de moins qu’en 2013. Un chute qui s’explique entres autres par l’arrêt de service du Mauitius Troschettia. Le trafic des vracs solides (charbon, céréales,…) connaît également un recul de 5%.
En 2015, le GPMDLR poursuit son relooking, surtout marquée par l’extension du Port-Est, pour laquelle près de 27 millions d’euros ont été investis en 2014. Cette année, près de 53 millions d’euros supplémentaires devraient être consacrés à ce chantier de grande ampleur, dont le coût total atteint les 80 millions d’euros.
Une darse agrandie et 3 nouveaux portiques
Un chantier qui comprend la nouvelle darse de plaisance qui sera allongée de 160m et approfondie de 15.5m pour accueillir de plus gros navires dès cette année. Le Port-Est sera également doté de trois nouveaux portiques à conteneurs permettant de recevoir des bateaux de 9.000 EVP d’ici 2016, contre 4.000 EVP aujourd’hui. Des équipements loin d’être superflus quand on se souvient qu’un portique était tombé en panne l’année dernière, alors même qu’un autre était déjà hors-service.
L’objectif du "projet stratégique 2014-2018" est multiple : Positionner l’île comme hub de transbordement régional, valoriser le foncier, mais aussi devenir une référence aéroportuaire de la zone en développant une démarche d’écologie et continuer à développer l’interface entre la ville et le port. Jean-Frédéric Laurent confie qu’"un travail est déjà mené avec la mairie et le TCO pour arriver à établir les besoins des uns et des autres".
Quant à l’épineux dossier de la Nouvelle Route du Littoral, le président du directoire du GPMDLR affirme que l’impact du chantier de la NRL a été déjà mesuré : "Nous avons prévu des zones d’accueil des entreprises mobilisées sur le chantier".