
La série du combat des précaires contre les chefs d'établissement se poursuit un peu plus d'un mois après la condamnation délibérée à l'encontre du lycée Bois-Joly Potier au Tampon. Cette fois encore, c'est la résiliation d'un contrat qui a causé le nouveau dépôt de plainte devant les Prud'hommes de Saint-Pierre.
Même s'ils n'ont pas été réintégrés dans leur ancien établissement d'exercice, les trois anciens précaires de Bois-Joly ont obtenu gain de cause avec, à la clé, la re-qualification symbolique de leur CDD en CDI et un dédommagement de 31.000 euros.
Après la réponse favorable délibérée en faveur des plaignants du Tampon, la justice prudhommale de Saint-Pierre aura, à nouveau, la responsabilité de trancher dans l'affaire des précaires de l'éducation nationale.
Même s'ils n'ont pas été réintégrés dans leur ancien établissement d'exercice, les trois anciens précaires de Bois-Joly ont obtenu gain de cause avec, à la clé, la re-qualification symbolique de leur CDD en CDI et un dédommagement de 31.000 euros.
Après la réponse favorable délibérée en faveur des plaignants du Tampon, la justice prudhommale de Saint-Pierre aura, à nouveau, la responsabilité de trancher dans l'affaire des précaires de l'éducation nationale.