Vendredi soir, un local accueillant des bureaux d'enquête de la LIC (Lutte contre l’Immigration Clandestine) ont été ravagés par les flammes à Mayotte. Le feu a été mis à un véhicule du groupe d'appui opérationnel (GAO) de la police aux frontières stationné devant l’immeuble. Un restaurant situé au rez-de-chaussée a lui aussi fait les frais de cet acte malveillant.
Le préfet de Mayotte a "condamné avec la plus grande fermeté" cet "incendie volontaire". Jean-François Colombet "s’indigne et assure qu’il sort plus déterminé à renforcer encore la lutte contre l’immigration clandestine avec la police et la gendarmerie pour aller plus vite et plus fort".
2450 renvois aux Comores rien que sur le mois de janvier
La semaine dernière, Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur et Sébastien Lecornu, ministre des Outre-mer, avaient décidé du maintien en continu de trois intercepteurs des forces de sécurité intérieure grâce à l'arrivée de personnels qualifiés depuis l'Hexagone - gendarmes et policiers - afin de lutter contre l'immigration illégale.
"Une immigration qui fait peser un poids supplémentaire sur le système social de Mayotte, déjà fortement sollicité par la reprise de l'épidémie Covid-19", indiquaient les ministres le 11 février.
"Ces moyens de surveillance et d'interception des kwassas viennent se rajouter aux moyens prévus dans le cadre de l'opération Shikandra sur la terre et dans les airs, à travers une surveillance aérienne de la zone maritime au large de Mayotte, mise en place par le préfet. En janvier 2021, 2450 réadmissions aux Comores de personnes venues illégalement sur le territoire national ont été effectuées", informaient les deux ministres.
Le préfet de Mayotte a "condamné avec la plus grande fermeté" cet "incendie volontaire". Jean-François Colombet "s’indigne et assure qu’il sort plus déterminé à renforcer encore la lutte contre l’immigration clandestine avec la police et la gendarmerie pour aller plus vite et plus fort".
2450 renvois aux Comores rien que sur le mois de janvier
La semaine dernière, Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur et Sébastien Lecornu, ministre des Outre-mer, avaient décidé du maintien en continu de trois intercepteurs des forces de sécurité intérieure grâce à l'arrivée de personnels qualifiés depuis l'Hexagone - gendarmes et policiers - afin de lutter contre l'immigration illégale.
"Une immigration qui fait peser un poids supplémentaire sur le système social de Mayotte, déjà fortement sollicité par la reprise de l'épidémie Covid-19", indiquaient les ministres le 11 février.
"Ces moyens de surveillance et d'interception des kwassas viennent se rajouter aux moyens prévus dans le cadre de l'opération Shikandra sur la terre et dans les airs, à travers une surveillance aérienne de la zone maritime au large de Mayotte, mise en place par le préfet. En janvier 2021, 2450 réadmissions aux Comores de personnes venues illégalement sur le territoire national ont été effectuées", informaient les deux ministres.