
Défilé ce matin
Le week end a été court pour les employés grévistes de la CAF et de la CGSS qui ont réinstallé leur piquet de grève dès hier soir devant l'enceinte de la CAF, rue du Général de Gaulle.
Leurs revendications n'ont pas évolué. Ils demandent l'augmentation de leurs salaires à hauteur de 10%, soit 300 euros net par mois.
La délégation patronale de l'UCANSS a quitté l'île plus tôt que prévu. Les négociations sont au point mort de ce côté.
Un défilé est programmé ce matin à 10h rue de Paris. Le rendez vous est donné devant le Jardin de l'Etat. Les grévistes iront déposer une motion à la Préfecture et espèrent rencontrer le représentant de l'Etat pour une sortie de crise urgente.
A Saint-Pierre, même démarche, les agents en grève doivent se rassembler avant de se rendre en sous-préfecture.
Banques paralysées
A la Banque Française Commerciale de l'Océan Indien, les négociations stagnent. Les revendications sont les mêmes que celles de la semaine dernière, à savoir une revalorisation de salaire de 1.800 euros nets par an. La direction de la BFC a fait une proposition d'augmentation refusée par les employés.
Du côté de la "banque verte", le bilan du Crédit Agricole a été dévoilé vendredi : 37 millions d'euros de bénéfices. Les salariés continuent leur mouvement puisque la direction refuse d'augmenter leurs salaires. Quelques grévistes auraient même décidé d'entamer une grève de la faim devant l'agence du Barachois à Saint-Denis.
Le week end a été court pour les employés grévistes de la CAF et de la CGSS qui ont réinstallé leur piquet de grève dès hier soir devant l'enceinte de la CAF, rue du Général de Gaulle.
Leurs revendications n'ont pas évolué. Ils demandent l'augmentation de leurs salaires à hauteur de 10%, soit 300 euros net par mois.
La délégation patronale de l'UCANSS a quitté l'île plus tôt que prévu. Les négociations sont au point mort de ce côté.
Un défilé est programmé ce matin à 10h rue de Paris. Le rendez vous est donné devant le Jardin de l'Etat. Les grévistes iront déposer une motion à la Préfecture et espèrent rencontrer le représentant de l'Etat pour une sortie de crise urgente.
A Saint-Pierre, même démarche, les agents en grève doivent se rassembler avant de se rendre en sous-préfecture.
Banques paralysées
A la Banque Française Commerciale de l'Océan Indien, les négociations stagnent. Les revendications sont les mêmes que celles de la semaine dernière, à savoir une revalorisation de salaire de 1.800 euros nets par an. La direction de la BFC a fait une proposition d'augmentation refusée par les employés.
Du côté de la "banque verte", le bilan du Crédit Agricole a été dévoilé vendredi : 37 millions d'euros de bénéfices. Les salariés continuent leur mouvement puisque la direction refuse d'augmenter leurs salaires. Quelques grévistes auraient même décidé d'entamer une grève de la faim devant l'agence du Barachois à Saint-Denis.