L’ARAST n’a pas dit son dernier mot. Le refus du Conseil général d’honorer la rallonge demandée de 10 millions d’€, conduit l'association à revoir son plan de gestion sur l’avenir. Ses perspectives seront étroitement liées à ce qui ressortira des discussions actuelles entre les deux parties.
“Nous continuons à discuter avec le Conseil général, concernant l’enveloppe supplémentaire dont notre structure a besoin pour remplir ses missions. Nous discutons aussi le tarif horaire de 16 €, sur lequel le Conseil général veut nous payer nos prestations”, explique Laurent Técher.
Le président de la structure réfute de manière catégorique, l’argument selon lequel le Département souhaite le démembrement de l’ARAST pour en récupérer ses missions, et ce à travers diverses associations.
Aussi bien dans le ton que dans le choix des mots, Laurent Técher, président de l’association, préfère la discussion constructive à la polémique inutile avec le Conseil général. “Nous avons d’abord une mission sociale auprès de la population. Nous devons avant tout en préserver la qualité”.
“En préserver la qualité” signifie et c’est étroitement lié, préserver l’emploi de 1258 professionnels formés et diplômés. “Le plan social à l’étude actuellement menace cet objectif”, ont indiqué plusieurs salariés de l’ARAST hier à la sortie de la rencontre avec Nassimah Dindar.
Laurent Técher, président de l’ARAST apporte d’autres précisions sur la vidéo.
“Nous continuons à discuter avec le Conseil général, concernant l’enveloppe supplémentaire dont notre structure a besoin pour remplir ses missions. Nous discutons aussi le tarif horaire de 16 €, sur lequel le Conseil général veut nous payer nos prestations”, explique Laurent Técher.
Le président de la structure réfute de manière catégorique, l’argument selon lequel le Département souhaite le démembrement de l’ARAST pour en récupérer ses missions, et ce à travers diverses associations.
Aussi bien dans le ton que dans le choix des mots, Laurent Técher, président de l’association, préfère la discussion constructive à la polémique inutile avec le Conseil général. “Nous avons d’abord une mission sociale auprès de la population. Nous devons avant tout en préserver la qualité”.
“En préserver la qualité” signifie et c’est étroitement lié, préserver l’emploi de 1258 professionnels formés et diplômés. “Le plan social à l’étude actuellement menace cet objectif”, ont indiqué plusieurs salariés de l’ARAST hier à la sortie de la rencontre avec Nassimah Dindar.
Laurent Técher, président de l’ARAST apporte d’autres précisions sur la vidéo.