
Depuis ce matin, 6 heures, le personnel pénitentiaire des trois établissements de l'île participe à une mobilisation nationale lancée par l'Ufap-Unsa Justice.
Le personnel souhaite dénoncer ses conditions de travail "devenues insupportables et de plus en plus dangereuses" provoquant "la mise en danger permanente des personnels pénitentiaires (agressions verbales et physiques journalières)", expose-t-on dans un communiqué. En trois mois, le syndicat note six prises d'otage au niveau national.
Le personnel pénitentiaire veut un "retour indispensable de l'ordre et de l'autorité dans nos détentions" ainsi que des recrutements "d'emplois vacants" et "d'emplois nécessaires à la prise en charge des extractions judiciaires".
Depuis 10h, le personnel pénitentiaire a rejoint la préfecture où une délégation est reçue par un représentant de l'Etat.
Le personnel souhaite dénoncer ses conditions de travail "devenues insupportables et de plus en plus dangereuses" provoquant "la mise en danger permanente des personnels pénitentiaires (agressions verbales et physiques journalières)", expose-t-on dans un communiqué. En trois mois, le syndicat note six prises d'otage au niveau national.
Le personnel pénitentiaire veut un "retour indispensable de l'ordre et de l'autorité dans nos détentions" ainsi que des recrutements "d'emplois vacants" et "d'emplois nécessaires à la prise en charge des extractions judiciaires".
Depuis 10h, le personnel pénitentiaire a rejoint la préfecture où une délégation est reçue par un représentant de l'Etat.