
Le personnel affecté à la sécurité du casino de Saint-Pierre débraye. Ce mouvement est une réponse à une vague de départs et d'arrêts maladie dans la société de jeux installée sur le front de mer.
Sur une équipe de sept agents de sécurité, cinq se trouvent actuellement sur la voie du licenciement ou ont déjà été renvoyé.
Deux agents ont préféré user de la rupture conventionnelle pour quitter la société. Un troisième est actuellement mis à pied en vue d'un licenciement. Il est pour l'heure en arrêt maladie. Le quatrième a été convoqué par la direction, probablement en vue d'une sanction.
Enfin, demeure le cas de représentant du personnel, Frédéric Dijoux, également convoqué en vue d'un licenciement et lui aussi en arrêt maladie.
Selon le personnel du casino, ce climat instable est dû aux agissements de leur chef. "Notre chef de la sécurité nous dénigre", avance Frédéric Dijoux, qui parle également de "harcèlement moral".
Une enquête menée en interne n'aurait débouché, à en croire le personnel qui débraye, "qu'aux licenciements des dénonciateurs".
Ce climat tendu n'est pas nouveau à l'entendre. "Depuis que le casino a ouvert, nous avons su que toutes les équipes chargées de la sécurité ont été renouvelées. Mais ce chef de la sécurité est toujours resté", raconte Frédéric Dijoux.
Une rencontre avec le directeur de l'établissement n'a pas abouti à un rétablissement d'un climat de confiance. Le débrayage est pour l'heure illimité. Les agents de sécurité attendent un geste de leur direction.
Sur une équipe de sept agents de sécurité, cinq se trouvent actuellement sur la voie du licenciement ou ont déjà été renvoyé.
Deux agents ont préféré user de la rupture conventionnelle pour quitter la société. Un troisième est actuellement mis à pied en vue d'un licenciement. Il est pour l'heure en arrêt maladie. Le quatrième a été convoqué par la direction, probablement en vue d'une sanction.
Enfin, demeure le cas de représentant du personnel, Frédéric Dijoux, également convoqué en vue d'un licenciement et lui aussi en arrêt maladie.
Selon le personnel du casino, ce climat instable est dû aux agissements de leur chef. "Notre chef de la sécurité nous dénigre", avance Frédéric Dijoux, qui parle également de "harcèlement moral".
Une enquête menée en interne n'aurait débouché, à en croire le personnel qui débraye, "qu'aux licenciements des dénonciateurs".
Ce climat tendu n'est pas nouveau à l'entendre. "Depuis que le casino a ouvert, nous avons su que toutes les équipes chargées de la sécurité ont été renouvelées. Mais ce chef de la sécurité est toujours resté", raconte Frédéric Dijoux.
Une rencontre avec le directeur de l'établissement n'a pas abouti à un rétablissement d'un climat de confiance. Le débrayage est pour l'heure illimité. Les agents de sécurité attendent un geste de leur direction.