
Entendu par la commission des affaires économiques de l'Assemblée nationale, le PDG de Total, Christophe de Margerie, a annoncé qu'il pourrait revoir ses marges dans les départements d'outre-mer. Une annonce qui intervient alors que les discussions avec les acteurs des filières pétrolières des DOM continuent, après la publication du nouvel arrêté de fixation des prix des carburants voulu par le ministre des Outre-mer, Victorin Lurel.
"On est prêt à accepter un réduction de notre rémunération, mais pas n'importe laquelle", a expliqué le PDG de Total lors de son audition devant la commission des affaires économiques, rapporte l'AFP.
Parus au journal officiel le 31 décembre dernier, les trois décrets visent une plus grande transparence sur les coûts et marges des compagnies pétrolières installées dans les DOM. Des décrets qui ont déclenché plusieurs vagues de protestations, aussi bien du côté des pétroliers que des gérants de stations-service.
"On aurait préféré éviter de passer par un décret qui n'a pas été véritablement négocié avec nous (…). Il s'agit maintenant de discuter et de voir ce que l'on peut accepter, sans se battre", a ajouté Christophe de Margerie au cours de son audition.
Pour rappel, de nouvelles discussions doivent se tenir à Bercy.
"On est prêt à accepter un réduction de notre rémunération, mais pas n'importe laquelle", a expliqué le PDG de Total lors de son audition devant la commission des affaires économiques, rapporte l'AFP.
Parus au journal officiel le 31 décembre dernier, les trois décrets visent une plus grande transparence sur les coûts et marges des compagnies pétrolières installées dans les DOM. Des décrets qui ont déclenché plusieurs vagues de protestations, aussi bien du côté des pétroliers que des gérants de stations-service.
"On aurait préféré éviter de passer par un décret qui n'a pas été véritablement négocié avec nous (…). Il s'agit maintenant de discuter et de voir ce que l'on peut accepter, sans se battre", a ajouté Christophe de Margerie au cours de son audition.
Pour rappel, de nouvelles discussions doivent se tenir à Bercy.