Huguette Bello est née le 24 août 1950 à la Ravine-des-Cabris. Après une scolarité dans le sud, elle passe son brevet élémentaire. Elle resta dans le milieu scolaire en devenant institutrice suppléante à l’âge de 18 ans en 1968. C’est pour aider ses parents et ses cinq frères qu’elle se met si tôt au travail et abandonne son rêve de devenir avocate. Elle devient ensuite directrice d’école maternelle à Saint-Leu, Saint-Louis et au Port dans les années 80.
Une carrière politique qui commence tôt
Sa carrière politique débute en 1974 lorsqu’elle devient membre du PCR (Parti communiste réunionnais) et de l’UFR (Union des Femmes de La Réunion), alors qu’elle est encore directrice. En 1983, elle devient élue de la Région sur la liste "Développement, Solidarité, Justice et Liberté" conduite par Paul Vergès, ainsi qu’adjointe au maire de Saint-Pierre. En 1988, direction le Département où elle devient conseillère générale dans le canton 3 de Saint-Pierre. En 1989, elle occupe à nouveau le poste d’adjointe au maire mais cette fois-ci pour Roland Robert à La Possession. En 1992, elle est à nouveau élue à La Région. En 1995, elle redevient conseillère municipale de Saint-Paul toujours avec Paul Vergès.
La première femme députée et deuxième femme maire de La Réunion
En 1997, Huguette Bello devient également la première députée de l’île, élue dans la 2ecirconscription de La Réunion. Un rôle qu’elle tiendra à nouveau en 2002 et 2007.
Huguette Bello accédera ensuite au poste de maire de Saint-Paul en 2008, face au maire sortant Alain Bénard. Elle est donc la deuxième femme à être élue maire à La Réunion, après Marie-Thérèse de Chateauvieux à Saint-Leu.
En 2012, la femme politique est exclue du PCR après son refus de se présenter aux élections législatives de la même année dans la 7ecirconscription au lieu de la 2e. C’est là qu’elle fonde le mouvement PLR (Pour La Réunion) et maintient sa candidature pour la 2ecirconscription – qu’elle remportera.
Mais il n’y a pas eu que des victoires pour Huguette Bello. En 2014, Joseph Sinimalé remporte les élections municipales de Saint-Paul. En 2015, elle est tête de liste de gauche à la présidence de la Région face à Didier Robert mais connaîtra la défaite.
Place en 2017 aux élections législatives, qu’elle remporte pour un cinquième mandat. Et en 2020, soutenue par le Parti de Gauche, le PCR, Europe Écologie les Verts et LFI, elle est élue maire de Saint-Paul pour la deuxième fois. Le cumul des mandats la force alors à quitter son poste de députée.
Une carrière politique qui commence tôt
Sa carrière politique débute en 1974 lorsqu’elle devient membre du PCR (Parti communiste réunionnais) et de l’UFR (Union des Femmes de La Réunion), alors qu’elle est encore directrice. En 1983, elle devient élue de la Région sur la liste "Développement, Solidarité, Justice et Liberté" conduite par Paul Vergès, ainsi qu’adjointe au maire de Saint-Pierre. En 1988, direction le Département où elle devient conseillère générale dans le canton 3 de Saint-Pierre. En 1989, elle occupe à nouveau le poste d’adjointe au maire mais cette fois-ci pour Roland Robert à La Possession. En 1992, elle est à nouveau élue à La Région. En 1995, elle redevient conseillère municipale de Saint-Paul toujours avec Paul Vergès.
La première femme députée et deuxième femme maire de La Réunion
En 1997, Huguette Bello devient également la première députée de l’île, élue dans la 2ecirconscription de La Réunion. Un rôle qu’elle tiendra à nouveau en 2002 et 2007.
Huguette Bello accédera ensuite au poste de maire de Saint-Paul en 2008, face au maire sortant Alain Bénard. Elle est donc la deuxième femme à être élue maire à La Réunion, après Marie-Thérèse de Chateauvieux à Saint-Leu.
En 2012, la femme politique est exclue du PCR après son refus de se présenter aux élections législatives de la même année dans la 7ecirconscription au lieu de la 2e. C’est là qu’elle fonde le mouvement PLR (Pour La Réunion) et maintient sa candidature pour la 2ecirconscription – qu’elle remportera.
Mais il n’y a pas eu que des victoires pour Huguette Bello. En 2014, Joseph Sinimalé remporte les élections municipales de Saint-Paul. En 2015, elle est tête de liste de gauche à la présidence de la Région face à Didier Robert mais connaîtra la défaite.
Place en 2017 aux élections législatives, qu’elle remporte pour un cinquième mandat. Et en 2020, soutenue par le Parti de Gauche, le PCR, Europe Écologie les Verts et LFI, elle est élue maire de Saint-Paul pour la deuxième fois. Le cumul des mandats la force alors à quitter son poste de députée.