
Après Marie-Jo Pérec en 2011, le meeting va une nouvelle fois chercher loin
La nouvelle est annoncée sur le tard. Le meeting international de Saint-Denis se tiendra en effet mercredi soir. Il faut dire que faire venir un poids lourd du sport mondial n'est pas chose aisée.
Et c'est pourtant le pari réussi par la ligue réunionnaise d'athlé. Maurice Greene, pour les non amateurs d'athlétisme, c'est (ou plutôt c'était) un sprinteur fantasque, adepte des mimiques sur la ligne de départ.
Côté palmarès, peu de sportifs de sa génération peuvent rivaliser, avant du moins que n'arrive la tornade Bolt.
Le 16 juin 1999, il devenait le premier homme à descendre sous la barre des 9’’80 sur 100 mètres en signant 9’’79 à Athènes. Un millésime 1999 durant lequel il décrochait également l’or aux Mondiaux de Séville sur 100m, 200m et relais 4x100m.
Une performance que seul avant lui avait réussi un certain Carl Lewis et qui depuis a été accompli aussi par Tyson Gay. L’année suivante, Greene le "pitbull" décrochait la timbale aux JO de Sydney en devenant champion olympique sur 100m.
Sûr que l'américain fera son effet lors de son passage sur l'île.
Et c'est pourtant le pari réussi par la ligue réunionnaise d'athlé. Maurice Greene, pour les non amateurs d'athlétisme, c'est (ou plutôt c'était) un sprinteur fantasque, adepte des mimiques sur la ligne de départ.
Côté palmarès, peu de sportifs de sa génération peuvent rivaliser, avant du moins que n'arrive la tornade Bolt.
Le 16 juin 1999, il devenait le premier homme à descendre sous la barre des 9’’80 sur 100 mètres en signant 9’’79 à Athènes. Un millésime 1999 durant lequel il décrochait également l’or aux Mondiaux de Séville sur 100m, 200m et relais 4x100m.
Une performance que seul avant lui avait réussi un certain Carl Lewis et qui depuis a été accompli aussi par Tyson Gay. L’année suivante, Greene le "pitbull" décrochait la timbale aux JO de Sydney en devenant champion olympique sur 100m.
Sûr que l'américain fera son effet lors de son passage sur l'île.