

Appuyés dans leur démarche par la CFDT et, dans une moindre mesure, par le SAFPTR, les salariés concernés revendiquent toujours le versement de leurs indemnités de licenciement ainsi qu'une possibilité de réintégration, selon certains ex-salariés qui avaient fait le déplacement au Palais de justice de Saint-Pierre. Ils devront, une nouvelle fois, faire preuve de patience.
Selon la partie adverse, la communication des éléments composant le dossier aurait pris du retard. Un argument mis en avant et qui a visiblement convaincu le conseil des prud'hommes étant donnée le report d'audience prononcé peu avant 9 heures ce matin.