Si cette information est confirmée le lundi 2 février prochain, cela signifie que la baisse “significative” du prix du gazole sera au moins de 10,1 centimes. Ainsi, le prix du litre de gazole passerait de 1,10 € à 0,99 €.
Si le prix du litre de sans-plomb diminue dans la même proportion, il sera alors de 1,2899 €.
Ainsi en moins de trois mois, le prix du litre du gazole (1,25 € à 0,99 à 0,99 €) et du sans-plomb (1,54 € à 1,2899 €) chuterait de 25 centimes. Une baisse intéressante mais pas aussi “significative”, que ne l’espérait l’intersyndicale.
Rappelez-vous que la semaine dernière, au sortir d’une énième réunion à la Chambre de commerce et d’industrie de La Réunion, des transporteurs réclamaient une baisse de 20 centimes pour le lundi 2 février. La préfecture devrait couper la poire en deux.
Les deux autres revendications sont la diminution immédiate du prix de l’ensemble des produits pétroliers, et le refus de la taxation du fioul domestique. “La préfecture nous a confirmé que seul le fioul lourd serait taxé”, a dit Joël Mongin.
Concernant la troisième et dernière demande, l’ouverture d’une négociation visant à la pérennisation du dispositif d’aide régionale du carburant, et ce jusqu’à la création d’un carburant professionnel, l’intersyndicale “a décidé de lâcher du lest”, dit Ary-Claude Caro, porte-parole du mouvement.
“Globalement, nous avons obtenu l’essentiel de ce que nous avons demandé, il n’y a pas de raison que nous fassions grève”, a précisé Joël Mongin, membre de l’intersyndicale.
Si le prix du litre de sans-plomb diminue dans la même proportion, il sera alors de 1,2899 €.
Ainsi en moins de trois mois, le prix du litre du gazole (1,25 € à 0,99 à 0,99 €) et du sans-plomb (1,54 € à 1,2899 €) chuterait de 25 centimes. Une baisse intéressante mais pas aussi “significative”, que ne l’espérait l’intersyndicale.
Rappelez-vous que la semaine dernière, au sortir d’une énième réunion à la Chambre de commerce et d’industrie de La Réunion, des transporteurs réclamaient une baisse de 20 centimes pour le lundi 2 février. La préfecture devrait couper la poire en deux.
Les deux autres revendications sont la diminution immédiate du prix de l’ensemble des produits pétroliers, et le refus de la taxation du fioul domestique. “La préfecture nous a confirmé que seul le fioul lourd serait taxé”, a dit Joël Mongin.
Concernant la troisième et dernière demande, l’ouverture d’une négociation visant à la pérennisation du dispositif d’aide régionale du carburant, et ce jusqu’à la création d’un carburant professionnel, l’intersyndicale “a décidé de lâcher du lest”, dit Ary-Claude Caro, porte-parole du mouvement.
“Globalement, nous avons obtenu l’essentiel de ce que nous avons demandé, il n’y a pas de raison que nous fassions grève”, a précisé Joël Mongin, membre de l’intersyndicale.
