
Le groupe réunionnais Apavou est secoué par des problèmes de trésorerie à l’île Maurice. Un de ses fleurons, estampillé quatre étoiles, l’Indian Resort, en manque de liquidités, éprouve des difficultés à payer ses employés.
La paie du mois de décembre a été créditée en banque seulement hier mercredi, comme le relate le site defimedia.info. Le groupe Apavou, qui gère deux autres hôtels de luxe à Maurice, accumulerait les dettes à hauteur de 4 milliards de roupies (97 millions d’euros) selon la presse locale.
"On coupe sur tout, même sur les choses essentielles. Ce n’est pas rassurant du tout… On est dans l’incertitude totale, et lorsqu’on a des emprunts à rembourser et une famille à charge, c’est un stress permanent", souligne, désabusé, un employé de l’hôtel.
Et plusieurs autres employés d’évoquer une situation catastrophique au niveau des services. "Un nombre élevé de plaintes a été enregistré par la direction durant les fêtes de fin d’année et pour diverses raisons. Parfois, c’est l’eau qui ne coulait pas dans les chambres, ou il y avait des soucis avec la nourriture. D’autres fois encore, c’est le choix de boissons limité avec, par exemple, une seule marque de whisky disponible", relèvent-ils.
Du côté de la direction d’Apavou à l’île Maurice, on se veut plus rassurant sur l’état actuel des finances. "Tous les virements ont été faits. Ces derniers temps, nous avons des débiteurs à l’étranger qui ne paient pas. Nous n’avons pas eu les fonds à temps pour payer les salaires. Nous sommes conscients des problèmes, mais pour le mois de janvier, nous faisons tout pour pouvoir payer dans les temps", affirme Deepak Dourgah, un des responsables financiers du groupe.
La paie du mois de décembre a été créditée en banque seulement hier mercredi, comme le relate le site defimedia.info. Le groupe Apavou, qui gère deux autres hôtels de luxe à Maurice, accumulerait les dettes à hauteur de 4 milliards de roupies (97 millions d’euros) selon la presse locale.
"On coupe sur tout, même sur les choses essentielles. Ce n’est pas rassurant du tout… On est dans l’incertitude totale, et lorsqu’on a des emprunts à rembourser et une famille à charge, c’est un stress permanent", souligne, désabusé, un employé de l’hôtel.
Et plusieurs autres employés d’évoquer une situation catastrophique au niveau des services. "Un nombre élevé de plaintes a été enregistré par la direction durant les fêtes de fin d’année et pour diverses raisons. Parfois, c’est l’eau qui ne coulait pas dans les chambres, ou il y avait des soucis avec la nourriture. D’autres fois encore, c’est le choix de boissons limité avec, par exemple, une seule marque de whisky disponible", relèvent-ils.
Du côté de la direction d’Apavou à l’île Maurice, on se veut plus rassurant sur l’état actuel des finances. "Tous les virements ont été faits. Ces derniers temps, nous avons des débiteurs à l’étranger qui ne paient pas. Nous n’avons pas eu les fonds à temps pour payer les salaires. Nous sommes conscients des problèmes, mais pour le mois de janvier, nous faisons tout pour pouvoir payer dans les temps", affirme Deepak Dourgah, un des responsables financiers du groupe.