
L’un des deux gendarmes de l'antenne locale du GIGN à Mayotte grièvement blessés à la tête, dimanche à Mayotte, et opéré pendant près de quatre heures dans la nuit de mardi à mercredi au CHU de Bellepierre, est toujours dans le coma et son pronostic vital est toujours engagé, selon le site 20 Minutes.
Le militaire a eu le crâne fracturé après avoir été agressé par une dizaine d'individus armés de galets et les médecins redoutaient qu’il fasse une hémorragie cérébrale.
Un autre gendarme de l’antenne locale du GIGN avait également été touché à la tête. Il souffre d’un traumatisme crânien et a reçu onze points de suture. Il est toujours en observation.
Les gendarmes ont déployé 176 militaires sur le terrain pour tenter d’identifier et d’interpeller les auteurs des jets de projectiles, ce qui a permis l’arrestation "d’un certain nombre d’individus", a déclaré à la presse le colonel Philippe Leclercq, commandant de la gendarmerie de Mayotte.
Le militaire a eu le crâne fracturé après avoir été agressé par une dizaine d'individus armés de galets et les médecins redoutaient qu’il fasse une hémorragie cérébrale.
Un autre gendarme de l’antenne locale du GIGN avait également été touché à la tête. Il souffre d’un traumatisme crânien et a reçu onze points de suture. Il est toujours en observation.
Les gendarmes ont déployé 176 militaires sur le terrain pour tenter d’identifier et d’interpeller les auteurs des jets de projectiles, ce qui a permis l’arrestation "d’un certain nombre d’individus", a déclaré à la presse le colonel Philippe Leclercq, commandant de la gendarmerie de Mayotte.