La décision prise est tardive mais elle reste courageuse. A l’heure où nous avons déjà commencé à consommer en 2018 les ressources naturelles que notre planète Terre ne produira qu’en 2019, l’écologie ne peut plus souffrir de ce double-discours permanent du gouvernement, qui n’est qu’une couverture de sa véritable action en faveur des lobbies privés. Nicolas Hulot n’aura été qu’une caution, au sein d’un exécutif sans cap, qui ne connaît ni sa droite, ni sa gauche.
La gravité de cet événement doit éveiller nos consciences. Un autre chemin doit être emprunté pour enfin promouvoir le développement durable dans le Monde, en Europe, en France et tout spécialement à La Réunion, haut lieu de la biodiversité.