Les victimes étaient deux. Une en 2008, l’autre en 2014 dans le sud. La dernière est malheureusement décédée. Il aura fallu 11 ans pour trouver et enfermer Jean-Christophe B.
Pour rappel, les premiers faits de 2008 ont eu lieu au Tampon. Une femme de 49 ans est interpellée dans la rue, rouée de coups et traînée par les cheveux dans une voiture où elle est violée. Fellation, pénétration vaginale et anale forcée par cet homme de 21 ans. "Fous le camps salope", lui aurait-il lancé en l’éjectant de la voiture. Les forces de l’ordre cherchent un petit de type créole blanc mais ne parviennent pas à mettre la main sur lui.
Quatre ans plus tard, une femme du même âge décrit des faits similaires. Un homme lui demande une relation sexuelle contre de l’argent, la gifle puis la traîne dans un petit chemin, la menaçant de mort. Alertés par les cris, des passants appellent les gendarmes pour une dispute entre un homme et une femme. Mais l’agresseur s’enfuit.
C’est à partir de 2015 que les choses s’accélèrent. La compagne d’un certain Jean-Christophe B. porte plainte pour violences. L’ADN est prélevé. Cet ADN, également prélevé lors d’un vol, sera ensuite confondu avec celui de l’auteur présumé des deux viols. N'interpellé qu’en 2019, le trentenaire est mis en examen pour viol en 2020.
Jean-Christophe B. a aujourd’hui 33 ans et compte huit condamnations sur son casier judiciaire. Parmi ses condamnations passées, une agression sexuelle sur personne vulnérable alors qu’il est mineur. Une infraction commise alors qu’il est sous sursis.
Ce mardi, le détenu se trouvait devant la chambre d’instruction et demandait à être placé sous contrôle judiciaire afin de pouvoir sortir de détention en attendant son procès. Les magistrats ont été du même avis que l’avocate générale qui a relevé ses "pulsions sexuelles auxquelles il ne peut pas résister". Il reste donc en détention.
Pour rappel, les premiers faits de 2008 ont eu lieu au Tampon. Une femme de 49 ans est interpellée dans la rue, rouée de coups et traînée par les cheveux dans une voiture où elle est violée. Fellation, pénétration vaginale et anale forcée par cet homme de 21 ans. "Fous le camps salope", lui aurait-il lancé en l’éjectant de la voiture. Les forces de l’ordre cherchent un petit de type créole blanc mais ne parviennent pas à mettre la main sur lui.
Quatre ans plus tard, une femme du même âge décrit des faits similaires. Un homme lui demande une relation sexuelle contre de l’argent, la gifle puis la traîne dans un petit chemin, la menaçant de mort. Alertés par les cris, des passants appellent les gendarmes pour une dispute entre un homme et une femme. Mais l’agresseur s’enfuit.
C’est à partir de 2015 que les choses s’accélèrent. La compagne d’un certain Jean-Christophe B. porte plainte pour violences. L’ADN est prélevé. Cet ADN, également prélevé lors d’un vol, sera ensuite confondu avec celui de l’auteur présumé des deux viols. N'interpellé qu’en 2019, le trentenaire est mis en examen pour viol en 2020.
Jean-Christophe B. a aujourd’hui 33 ans et compte huit condamnations sur son casier judiciaire. Parmi ses condamnations passées, une agression sexuelle sur personne vulnérable alors qu’il est mineur. Une infraction commise alors qu’il est sous sursis.
Ce mardi, le détenu se trouvait devant la chambre d’instruction et demandait à être placé sous contrôle judiciaire afin de pouvoir sortir de détention en attendant son procès. Les magistrats ont été du même avis que l’avocate générale qui a relevé ses "pulsions sexuelles auxquelles il ne peut pas résister". Il reste donc en détention.