Aux quatre coins de l’île, les stations sismologiques de l’Observatoire volcanologique enregistrent les vibrations du sol pour observer ses mouvements et notamment les potentiels tremblements de terre.
Mais difficile pour ces appareils de faire le tri entre ce qui vient de la terre, et les vibrations émises par l’activité humaine (circulation automobile, chantiers etc).
Depuis le début du confinement, une différence très marquée dans le niveau de "bruit" enregistré apparaît clairement à la station sismique du Musée de Villèle à Saint-Gilles Les Hauts.
On peut également distinguer les cycles jour/nuit liés aux activités humaines.
Qui aurait pu imaginer que nos activités quotidiennes avaient un tel impact sur les vibrations du sol !
Mais difficile pour ces appareils de faire le tri entre ce qui vient de la terre, et les vibrations émises par l’activité humaine (circulation automobile, chantiers etc).
Depuis le début du confinement, une différence très marquée dans le niveau de "bruit" enregistré apparaît clairement à la station sismique du Musée de Villèle à Saint-Gilles Les Hauts.
On peut également distinguer les cycles jour/nuit liés aux activités humaines.
Qui aurait pu imaginer que nos activités quotidiennes avaient un tel impact sur les vibrations du sol !