À la veille de l’assemblée plénière ce vendredi 16 juin 2017, le président de Région, Didier Robert, a fait le point sur le compte administratif 2016 de la collectivité régionale, étudié ce vendredi par les conseillers régionaux. Pour le patron de la Pyramide inversée, ce compte administratif démontre la "bonne santé financière de la collectivité" ainsi qu’une "exécution budgétaire offensive et respectueuse des engagements avec pour priorité l’investissement".
En 2016, la Région Réunion a engagé 1,4 milliard d’euros, au titre notamment de l’économie locale, de la continuité territoriale, des infrastructures, du BTP, du transport ou encore de la coopération régionale.
Le taux de réalisation en dépenses a connu une augmentation de 9,5% par rapport à 2015 pour s’établir à 95% pour les deux sections représentant 1,35 milliard d’euros de mandatement. Ainsi l’an dernier, les dépenses en fonctionnement s’établissent à 415 millions d’euros (en augmentation de 5%) et celles en investissements à 933 millions d’euros (+11,6%).
Ces 933 millions d’euros sont répartis comme suit : 713 millions d’euros de mandatements, dont 528 millions d’euros de dépenses d’équipement. Sur ces dépenses d’équipement, Didier Robert tient à rappeler que, depuis son arrivée à la Région, le montant des dépenses d’équipement est passé de 180 millions d’euros en 2010 à 441 millions d’euros en 2014 pour atteindre 528 millions d’euros en 2016.
Un montant qui a permis à la collectivité de consacrer en 2016 plus de 100 millions d’euros à l’enseignement et plus de 353 millions d’euros pour l’amélioration des modes de transport, "sans oublier 29 millions d’euros pour la continuité territoriale dans les deux sens, ainsi que 23 millions d’euros pour le développement du tourisme", poursuit Didier Robert.
Pour le président de la collectivité régionale, le premier élément à relever est que les "engagements que nous avons pris ont été scrupuleusement respectés". "Deuxième élément à noter, c’est que la part de l’investissement est une part excessivement importante puisque nous consacrons plus de 70% aux investissements, ce qui montre que nous sommes à la Région depuis plusieurs années au coeur même de la commande publique pour assurer notre responsabilité, avec une répercussion sur la croissance importante", argue-t-il.
Troisième aspect pour Didier Robert, une gestion financière "saine, avec un résultat qui est positif de plus de 30 millions d’euros aujourd’hui et une épargne de gestion qui est de plus de 100 millions d’euros". Le tout dans un contexte de baisse de la dotation globale de fonctionnement (DGF) et de la dotation générale de décentralisation, qui baissent de 4,6% en 2016 ajoute Didier Robert.
En 2016, la Région Réunion a engagé 1,4 milliard d’euros, au titre notamment de l’économie locale, de la continuité territoriale, des infrastructures, du BTP, du transport ou encore de la coopération régionale.
Le taux de réalisation en dépenses a connu une augmentation de 9,5% par rapport à 2015 pour s’établir à 95% pour les deux sections représentant 1,35 milliard d’euros de mandatement. Ainsi l’an dernier, les dépenses en fonctionnement s’établissent à 415 millions d’euros (en augmentation de 5%) et celles en investissements à 933 millions d’euros (+11,6%).
Ces 933 millions d’euros sont répartis comme suit : 713 millions d’euros de mandatements, dont 528 millions d’euros de dépenses d’équipement. Sur ces dépenses d’équipement, Didier Robert tient à rappeler que, depuis son arrivée à la Région, le montant des dépenses d’équipement est passé de 180 millions d’euros en 2010 à 441 millions d’euros en 2014 pour atteindre 528 millions d’euros en 2016.
Un montant qui a permis à la collectivité de consacrer en 2016 plus de 100 millions d’euros à l’enseignement et plus de 353 millions d’euros pour l’amélioration des modes de transport, "sans oublier 29 millions d’euros pour la continuité territoriale dans les deux sens, ainsi que 23 millions d’euros pour le développement du tourisme", poursuit Didier Robert.
Pour le président de la collectivité régionale, le premier élément à relever est que les "engagements que nous avons pris ont été scrupuleusement respectés". "Deuxième élément à noter, c’est que la part de l’investissement est une part excessivement importante puisque nous consacrons plus de 70% aux investissements, ce qui montre que nous sommes à la Région depuis plusieurs années au coeur même de la commande publique pour assurer notre responsabilité, avec une répercussion sur la croissance importante", argue-t-il.
Troisième aspect pour Didier Robert, une gestion financière "saine, avec un résultat qui est positif de plus de 30 millions d’euros aujourd’hui et une épargne de gestion qui est de plus de 100 millions d’euros". Le tout dans un contexte de baisse de la dotation globale de fonctionnement (DGF) et de la dotation générale de décentralisation, qui baissent de 4,6% en 2016 ajoute Didier Robert.
.@didier__robert : "Selon les #AccordsMatignon, la part qui revenait à la @Region_Reunion était de 669 millions euros #NRL #LaReunion (1/2) pic.twitter.com/LhqdoO0ebR
— Samuel Irlepenne (@samzinfos974) 15 juin 2017
Nous avons mobilisé en 2014 auprès de la CDC et la BEI plus de 900M€, qui couvre ces 669M€ + les 200M€" #NRL #LaReunion (2/2)
— Samuel Irlepenne (@samzinfos974) 15 juin 2017
Interrogé sur la polémique liée sur l’enveloppe complémentaire de 250 millions d’euros pour le chantier de la Nouvelle Route du Littoral, qui devrait à n’en pas douter électriser les débats de la plénière de vendredi, le président de Région a tenu à mettre les choses au clair. Pour ses adversaires, ces 250 millions d’euros sont une preuve du surcoût du chantier, laissant présager une facture finale supérieure à 2,5 milliards d’euros. Or, Didier Robert l’affirme, "tout est sous contrôle". "Ces 250 millions d’euros ont déjà été provisionnés, dont 50 millions pour les mesures environnementales et les nouvelles exigences", réaffirme-t-il.