
Photo d'illustration
Depuis quelques années, l'Ouest de l'île est sous le feu des projecteurs sur la question du risque requin. À tel point qu'on en avait oublié que sur la côte Est, l'activité nautique existe bel et bien. Des surfeurs sont présents et la municipalité de Saint-Benoît espère aujourd'hui pouvoir sécuriser son littoral.
Preuve que le surf ne rime pas uniquement avec Ouest de la Réunion, il existe un club de surf situé à Saint-Benoît, le Planète Bleue, qui renaît peu à peu de ses cendres... Après l'attaque de 2004, le club s'est mis en "sommeil", précise Romuald L'homond, vice-président du PBSB club d'activités nautiques de Saint-Benoît. Mais l'absence de club n'a pas empêché les adeptes des vagues de se mettre à l'eau au large de la ville de l'Est.
Face à ce constat, l'ancienne direction, avec l'aide de la Fédération Française de Surf, tente depuis le mois de janvier dernier de relancer l'activité du club. Frédéric Boulevart, l'ancien trésorier de Planète Bleue, assure que le club se "restructure" car, l'activité n'ayant "jamais cessé" c'est "une opportunité de reformer un groupe officiel". Il explique "qu'il y a toujours eu une demande".
Dans l'attente d'une restructuration et d'une sécurisation du périmètre, les amoureux de la vague peuvent compter sur des associations telle que SOS (Sauvegarde Océan Sport), pour assurer une surveillance des spots, d'autant que les sanctions encourues par les individus s'aventurant dans l'eau s'avèreraient inefficaces. Cela permet aux sportifs "de surfer dans de meilleures conditions", selon le trésorier de Planète Bleue.
Par ailleurs, la mairie de Saint-Benoît travaillerait en collaboration avec le club afin d'obtenir l'installation de drumlines sur certains spots de surfs. Le club Planète Bleue avait accueilli la première compétition de surf de l'Est de l'île en 2004, et aujourd'hui, il comptabiliserait "plus de 130 adhérents", selon le deuxième adjoint au maire de Saint-Benoît, Gérard Perrault.
Preuve que le surf ne rime pas uniquement avec Ouest de la Réunion, il existe un club de surf situé à Saint-Benoît, le Planète Bleue, qui renaît peu à peu de ses cendres... Après l'attaque de 2004, le club s'est mis en "sommeil", précise Romuald L'homond, vice-président du PBSB club d'activités nautiques de Saint-Benoît. Mais l'absence de club n'a pas empêché les adeptes des vagues de se mettre à l'eau au large de la ville de l'Est.
Face à ce constat, l'ancienne direction, avec l'aide de la Fédération Française de Surf, tente depuis le mois de janvier dernier de relancer l'activité du club. Frédéric Boulevart, l'ancien trésorier de Planète Bleue, assure que le club se "restructure" car, l'activité n'ayant "jamais cessé" c'est "une opportunité de reformer un groupe officiel". Il explique "qu'il y a toujours eu une demande".
Dans l'attente d'une restructuration et d'une sécurisation du périmètre, les amoureux de la vague peuvent compter sur des associations telle que SOS (Sauvegarde Océan Sport), pour assurer une surveillance des spots, d'autant que les sanctions encourues par les individus s'aventurant dans l'eau s'avèreraient inefficaces. Cela permet aux sportifs "de surfer dans de meilleures conditions", selon le trésorier de Planète Bleue.
Par ailleurs, la mairie de Saint-Benoît travaillerait en collaboration avec le club afin d'obtenir l'installation de drumlines sur certains spots de surfs. Le club Planète Bleue avait accueilli la première compétition de surf de l'Est de l'île en 2004, et aujourd'hui, il comptabiliserait "plus de 130 adhérents", selon le deuxième adjoint au maire de Saint-Benoît, Gérard Perrault.