D’un extrême à l’autre, c’est le cas de l’écart entre le chariot-type le plus élevé et le moins élevé. En pourcentage, il passe de 1,36 % à 30,28 %, en valeur absolue, il passe de 2,25 € à 50,27 €. Cet écart se creuse un peu plus.
“Le chariot-type baisse. Il baisse en moyenne de 16 € sur ces deux derniers mois, même si cela ne baisse pas aussi rapidement et de manière prolongée selon les points de vente”, commente Jean Ballandras, secrétaire général des Affaires régionales de la préfecture.
“Il est essentiel que le consommateur soit actif, lucide et vigilant, car il y a une vraie lecture à faire, et se dire où je vais faire mes courses, quelle est l’enseigne la moins chère…”
Mais à la lecture des analyses des statistiques présentés cet après-midi par Jean Ballandras, l’écart des prix tient plus de la micro-région que de l’enseigne. C’est ce qui ressort du panier de 50 produits relevés dans 14 points de vente, c’est-à-dire sur 700 prix.
Faut-il ouvrir l’échantillon retenu, augmenter le nombre de points de vente, surtout pour éviter que la grande distribution utilise cette liste, à mauvais escient.
Faut-il modifier la méthodologie ? C’est la question à laquelle répond Jean Ballandras, sur la vidéo ?