Les amateurs de courses auto saluent sur les réseaux sociaux la mémoire d’Adrien Picot, trop tôt disparu. Celui qui a été plusieurs fois champion de La Réunion de course de côte sur sa monoplace a perdu son combat contre la forme très agressive du Covid, le variant sud-africain, à l’âge de 66 ans.
Ses amis se souviennent de son parcours fait de victoires dans les années 80 jusqu'au début des années 90 et dont l’une d’elles est restée mémorable.
Il a commencé sa carrière de compétition automobile sur des circuits en terre à l’Etang-Salé. Ensuite il a fait quelques rallyes sur la voiture officielle de la SOREVA, concessionnaire de la marque Mazda. André Picot était aux commandes d'une Mazda avec un moteur rotatif TR7. Les spécialistes apprécieront.
Avec sa monoplace importée de métropole, il a gagné une course de côte mémorable face à un champion métropolitain, un certain Carrenou, qui était venu courir avec une Renault 4CV prototype.
La victoire s’est jouée à un cheveu, dans la dernière montée. Une victoire obtenue à un dixième de seconde sur son concurrent. "C’était sans doute la première fois qu’un Réunionnais battait un métropolitain. Ils se sont battus sur les 3 montées officielles et sur la dernière, Adrien avait réussi à devancer Carrenoux", se souvient Jean Thierry, un ami attristé.
Ses amis se souviennent de son parcours fait de victoires dans les années 80 jusqu'au début des années 90 et dont l’une d’elles est restée mémorable.
Il a commencé sa carrière de compétition automobile sur des circuits en terre à l’Etang-Salé. Ensuite il a fait quelques rallyes sur la voiture officielle de la SOREVA, concessionnaire de la marque Mazda. André Picot était aux commandes d'une Mazda avec un moteur rotatif TR7. Les spécialistes apprécieront.
Avec sa monoplace importée de métropole, il a gagné une course de côte mémorable face à un champion métropolitain, un certain Carrenou, qui était venu courir avec une Renault 4CV prototype.
La victoire s’est jouée à un cheveu, dans la dernière montée. Une victoire obtenue à un dixième de seconde sur son concurrent. "C’était sans doute la première fois qu’un Réunionnais battait un métropolitain. Ils se sont battus sur les 3 montées officielles et sur la dernière, Adrien avait réussi à devancer Carrenoux", se souvient Jean Thierry, un ami attristé.