
Les ex-salariés de l'Arast reprennent du service aujourd'hui après plusieurs jours de repos bien mérités et un temps consacré à la réflexion. Ce matin, ils manifestent à partir de 9 heures à partir du Jardin de l'Etat et feront un détour symbolique devant les locaux de l'AGS avant de rejoindre les jardins de la préfecture.
A 11h30, une audience est prévue avec un conseiller du Préfet afin de faire le point sur la situation.
Pour le représentant syndical, Paul Junot, l'état d'esprit actuel se résume en deux mots : combativité et confiance. Le premier car il était important de ressentir toujours la même hargne chez les anciens salariés de l'Arast dans ce combat dont l'issue permettra, tous l'espèrent, d'obtenir enfin les indemnités de licenciement.
"Confiance" car cela n'était pas gagné d'avance dans le sens où "le cas Valérie Bénard s'est posé", a expliqué Paul Junot. En cause, sa présence sur la liste de Didier Robert pour les élections régionales. Réunis encore hier dans le local de la rue Jules Auber, il leur a semblé important de s'assurer que la confiance régnait et non "un soupçon de manipulation", comme le décrit le syndicaliste. Pour lui, l'ambiance est au beau fixe pour poursuivre la lutte, et Valérie Bénard reste à leurs côtés comme ce sera le cas ce matin, sauf problème majeur.
Mais l'inquiétude n'a pas envahi les seuls rangs des ex-salariés de l'Arast. Du côté du bureau de la CGTR aussi, on se demanderait si la candidature de Valérie Bénard sur une liste de droite aux élections régionales ne remet pas en cause sa lutte syndicale à la CGTR. Une réunion devrait prochainement permettre de statuer sur son cas.
A 11h30, une audience est prévue avec un conseiller du Préfet afin de faire le point sur la situation.
Pour le représentant syndical, Paul Junot, l'état d'esprit actuel se résume en deux mots : combativité et confiance. Le premier car il était important de ressentir toujours la même hargne chez les anciens salariés de l'Arast dans ce combat dont l'issue permettra, tous l'espèrent, d'obtenir enfin les indemnités de licenciement.
"Confiance" car cela n'était pas gagné d'avance dans le sens où "le cas Valérie Bénard s'est posé", a expliqué Paul Junot. En cause, sa présence sur la liste de Didier Robert pour les élections régionales. Réunis encore hier dans le local de la rue Jules Auber, il leur a semblé important de s'assurer que la confiance régnait et non "un soupçon de manipulation", comme le décrit le syndicaliste. Pour lui, l'ambiance est au beau fixe pour poursuivre la lutte, et Valérie Bénard reste à leurs côtés comme ce sera le cas ce matin, sauf problème majeur.
Mais l'inquiétude n'a pas envahi les seuls rangs des ex-salariés de l'Arast. Du côté du bureau de la CGTR aussi, on se demanderait si la candidature de Valérie Bénard sur une liste de droite aux élections régionales ne remet pas en cause sa lutte syndicale à la CGTR. Une réunion devrait prochainement permettre de statuer sur son cas.