
Une fois le budget rectificatif 2013 adopté par les élus de la Chambre, malgré les réticences de ceux de l'opposition, le coeur des discussions s'est tourné vers le budget primitif 2014, présenté lors de la dernière assemblée générale de l'année. Un budget contraint par la récente perte de la concession portuaire, une infrastructure désormais entre les mains de l'Etat.
L'inquiétude se ressent dans les rangs de l'opposition et même chez certains de la majorité d'Ibrahim Patel, président de la CCIR. "Qu'est ce qui est fait en terme de stratégie ?", s'interroge Pascal Plante, élu à la CCIR. Pour le président, l'investissement est une donnée essentielle pour "récupérer" les recettes. "On doit valoriser notre foncier. Mais ne dites pas que nous n'avons rien après les cessions du port et de l'aéroport", souligne le président de la CCIR. Une explication qui ne convainc pas dans l'assistance. "On a un budget de fonctionnement en hausse, alors que l'on a perdu le Port", lance Pascal Plante.
Il n'en faut pas moins au trésorier de la CCIR, Théophane Narayanin, pour être à deux doigts de sortir de ses gonds… "On peut rester sur la réalité des chiffres pour avancer", lâche-t-il, un brin agacé par les critiques de l'opposition.
"Nous ne sommes pas dans la position politique, mais dans une attitude de pédagogie face à l'effet ciseau dans lequel on va se trouver. Les résultats sont ténus. C'est préoccupant. Sur l'aspect maîtrise des charges il faut être très vigilant. Nous ne sommes pas dans une position polémique, mais les résultats 2013 par rapport à 2014 sont préoccupants", insiste Daniel Moreau.
Résultat, le budget de fonctionnement de la CCIR passe de 50,4 millions à 46,5 millions d'euros pour 2014, les investissements sont en retrait de 480.000 euros (2,2 millions à 1,7 million d'euros), le résultat d'exploitation est de - 701.000 euros et le résultat net de 421.000 euros. La trésorerie se stabilise et grimpe de 316.000 euros (4,6 à 4,9 millions d'euros). Une trésorerie fortement impactée par la perte de la concession portuaire et qui reste bien loin de celle de 2012 (14,5 millions d'euros).
L'inquiétude se ressent dans les rangs de l'opposition et même chez certains de la majorité d'Ibrahim Patel, président de la CCIR. "Qu'est ce qui est fait en terme de stratégie ?", s'interroge Pascal Plante, élu à la CCIR. Pour le président, l'investissement est une donnée essentielle pour "récupérer" les recettes. "On doit valoriser notre foncier. Mais ne dites pas que nous n'avons rien après les cessions du port et de l'aéroport", souligne le président de la CCIR. Une explication qui ne convainc pas dans l'assistance. "On a un budget de fonctionnement en hausse, alors que l'on a perdu le Port", lance Pascal Plante.
Il n'en faut pas moins au trésorier de la CCIR, Théophane Narayanin, pour être à deux doigts de sortir de ses gonds… "On peut rester sur la réalité des chiffres pour avancer", lâche-t-il, un brin agacé par les critiques de l'opposition.
"Nous ne sommes pas dans la position politique, mais dans une attitude de pédagogie face à l'effet ciseau dans lequel on va se trouver. Les résultats sont ténus. C'est préoccupant. Sur l'aspect maîtrise des charges il faut être très vigilant. Nous ne sommes pas dans une position polémique, mais les résultats 2013 par rapport à 2014 sont préoccupants", insiste Daniel Moreau.
Résultat, le budget de fonctionnement de la CCIR passe de 50,4 millions à 46,5 millions d'euros pour 2014, les investissements sont en retrait de 480.000 euros (2,2 millions à 1,7 million d'euros), le résultat d'exploitation est de - 701.000 euros et le résultat net de 421.000 euros. La trésorerie se stabilise et grimpe de 316.000 euros (4,6 à 4,9 millions d'euros). Une trésorerie fortement impactée par la perte de la concession portuaire et qui reste bien loin de celle de 2012 (14,5 millions d'euros).