Dans un communiqué, le bureau du Premier ministre israélien Yaïr Lapid a affirmé que l'armée israélienne n'avait pas frappé Jabalia "ces dernières heures".
Les raids de l'armée israéliennes ont débuté vendredi après l'arrestation lundi dernier d'un chef du Jihad islamique, Bassem Saadi, en Cisjordanie occupée. L'Etat hébreu affirme par ailleurs avoir arrêté une quarantaine de membres de l'organisation et avoir éliminé une quinzaine de combattants. Il assure au passage ne viser que des sites appartenant au Jihad islamique et s'attend à "une semaine de raids" dans la bande de Gaza.
En représailles, le Jihad islamique a tiré des roquettes en direction du sol israélien, interceptés dans leur grande majorité par le bouclier anti-missile israélien. Un responsable de l'organisation, Mohammed Al-Hindi, a affirmé samedi que la bataille entre les deux entités n'était "qu'à ses débuts". Des dires confirmés par le secrétaire général du mouvement, Ziad al-Nakhala, qui depuis Téhéran, a assuré qu'il n'y aura "aucune trêve après ce bombardement".
Ce sont les pires violences entre Israël et les organisations armées de Gaza depuis mai 2021, où 260 morts avaient trouvé la mort côté palestinien et 14 côté israélien.
Les raids de l'armée israéliennes ont débuté vendredi après l'arrestation lundi dernier d'un chef du Jihad islamique, Bassem Saadi, en Cisjordanie occupée. L'Etat hébreu affirme par ailleurs avoir arrêté une quarantaine de membres de l'organisation et avoir éliminé une quinzaine de combattants. Il assure au passage ne viser que des sites appartenant au Jihad islamique et s'attend à "une semaine de raids" dans la bande de Gaza.
En représailles, le Jihad islamique a tiré des roquettes en direction du sol israélien, interceptés dans leur grande majorité par le bouclier anti-missile israélien. Un responsable de l'organisation, Mohammed Al-Hindi, a affirmé samedi que la bataille entre les deux entités n'était "qu'à ses débuts". Des dires confirmés par le secrétaire général du mouvement, Ziad al-Nakhala, qui depuis Téhéran, a assuré qu'il n'y aura "aucune trêve après ce bombardement".
Ce sont les pires violences entre Israël et les organisations armées de Gaza depuis mai 2021, où 260 morts avaient trouvé la mort côté palestinien et 14 côté israélien.