Cyrille Melchior : à faux-cul, faux-culs par paquets !
« Nul ne peut se prévaloir de ses propres turpitudes… » dit la loi. Le gnome vexé comme un pou, vous savez, celui de Moufia, n’en finit plus de se prétendre trahi. Et il a raison, et c’est tant mieux : à faux-cul, faux-cul et demi ! Il en deviendrait presque pathétique s’il n’était aussi détestable.
Il se plaint d’avoir été trahi par Michel Fontaine et consorts ? D’abord, prétendre que l’amer Michel est un traitre est un pléonasme. Ce soi-disant toubib mais vrai homme d’affaires est même un spécialiste de la chose depuis qu’il est élu du Sud. Nous sommes des milliers à en savoir quelque chose mais il faut reconnaître un fait patent : il ne fait qu’agir comme ses salauds de semblables et s’en va au gré du vent de ses intérêts sans état d’âme : « Je trahis donc je suis ! »
Ensuite, pour ce qui est de trahir, le Didier-de-mes-roubles-ignobles n’est pas non plus un enfant de choeur. Demandez à TAK.
Autre constatation navrante et question collatérale : comment a-t-on pu voter pour cet ectoplasme si inconsistant qu’est le Melchior ? Comment a-t-on pu faire confiance à ce soutien indéfectible du Sini(stre)malé, lequel, « victime de son karma », il l’a dit lui-même, est allé en taule pour pillage des fonds publics ?
Selon le Cyrille-qui-ne-dit-rien-parce-qu’il-n’a-rien-à-dire, les autres « ont voté en leur âme et conscience ». Quelle âme ? Quelle conscience ? Les amibes, que je sache, n’en ont pas.
Ce à quoi on vient d’assister n’est rien d’autre que le carnaval des cloportes !
« Vira a fait ceci… Une telle a fait cela… Nassimah a… etc., etc. » Mais ils le font tous, ma brave dame, et la démocratie devrait bien être revue et corrigée. Au moyen de deux permis : celui de se présenter et celui de voter.
Ah oui ! Les fantômes du défunt PCR tiennent à donner leur avis. Ca mange pas d’pain.