
La densification du centre ville de Saint-Pierre avec un front de mer en perpétuel développement, nécessitait un autre point d’ancrage. Le développement de Pierrefonds répond à la création d’un équilibre urbain d’une part, et à l’extension des activités économiques d’autre part.
Aussi, il était logique pour David Lorion, adjoint au maire chargé de l’Aménagement, d’installer le Zénith refusé par la ville de Saint-Denis, ou une grande salle culturelle d’au moins 4 000 places à Pierrefonds.
Le site saint-pierrois a plusieurs atouts.
Le premier, c’est l’espace et le foncier. Il y en a à revendre et les concepteurs peuvent voir grand, aussi bien pour la structure que pour les parkings.
Le second, la future construction sera desservie par de grands axes routiers. Ainsi, la sortie des spectacles ne sera pas un cauchemar en matière d’embouteillages. Et en matière de sécurité, les accès sont multiples.
Le troisième, la salle de spectacles va s’imbriquer dans un pôle d’animations à venir. En effet, d’autres projets (un bowling par exemple), sont évoqués. Cela augmentera considérablement, la fréquentation des lieux.
Un critère essentiel lorsque l’on sait que le cahier des charges d’un Zénith impose soixante spectacles dans l’année, à des tarifs d’entrée de 40 euros en moyenne.
Mais pour Didier Robert, député-maire du Tampon, ces éléments ne tiennent pas face à la nécessité d’équilibre structurel et économique entre sa ville et Saint-Pierre.
Et puis, Pierrefonds est loin du Tampon. A moins qu’un jour, les élus saint-pierrois n'acceptent que Pierrefonds soit un pôle du Sud et non pas seulement de Saint-Pierre.
Autre argument essentiel en faveur de la position de Didier Robert, Michel Fontaine, le maire de Saint-Pierre, aurait pris fait et cause pour son collègue tamponnais.
Aux dernières nouvelles donc, la salle de spectacle de 4 000 places semble prendre la direction des 400 au Tampon.
A suivre…
Aussi, il était logique pour David Lorion, adjoint au maire chargé de l’Aménagement, d’installer le Zénith refusé par la ville de Saint-Denis, ou une grande salle culturelle d’au moins 4 000 places à Pierrefonds.
Le site saint-pierrois a plusieurs atouts.
Le premier, c’est l’espace et le foncier. Il y en a à revendre et les concepteurs peuvent voir grand, aussi bien pour la structure que pour les parkings.
Le second, la future construction sera desservie par de grands axes routiers. Ainsi, la sortie des spectacles ne sera pas un cauchemar en matière d’embouteillages. Et en matière de sécurité, les accès sont multiples.
Le troisième, la salle de spectacles va s’imbriquer dans un pôle d’animations à venir. En effet, d’autres projets (un bowling par exemple), sont évoqués. Cela augmentera considérablement, la fréquentation des lieux.
Un critère essentiel lorsque l’on sait que le cahier des charges d’un Zénith impose soixante spectacles dans l’année, à des tarifs d’entrée de 40 euros en moyenne.
Mais pour Didier Robert, député-maire du Tampon, ces éléments ne tiennent pas face à la nécessité d’équilibre structurel et économique entre sa ville et Saint-Pierre.
Et puis, Pierrefonds est loin du Tampon. A moins qu’un jour, les élus saint-pierrois n'acceptent que Pierrefonds soit un pôle du Sud et non pas seulement de Saint-Pierre.
Autre argument essentiel en faveur de la position de Didier Robert, Michel Fontaine, le maire de Saint-Pierre, aurait pris fait et cause pour son collègue tamponnais.
Aux dernières nouvelles donc, la salle de spectacle de 4 000 places semble prendre la direction des 400 au Tampon.
A suivre…