
Depuis vendredi matin, personne n'entre dans le magasin Weldom, spécialisé dans le bricolage au Port, les grilles sont baissées. Les salariés, 39 sur 40, sont en grève pour demander un 13ème mois et le déplacement du directeur de l'enseigne du port qui aurait eu "un comportement insultant envers plusieurs salariés", explique Joël Dalleau, secrétaire général de la CFDT section commerce et service.
"Nous avons rencontré la direction vendredi après-midi, mais les première négociations n'ont rien donné. Nous demandons la mise en place d'un 13ème mois et le déplacement du directeur", déclare Joël Dalleau, "le comportement du directeur a frisé l'insolence envers plusieurs salariés de l'enseigne".
C'est la première fois en 8 ans, que les salariés de Weldom se mettent en grève. Weldom fait partie du groupe Ravate, du reste une réunion avec le directeur général du groupe devait avoir lieu ce matin, mais "celui-ci a perdu patience. Il est parti sans nous rencontrer", souligne-t-il.
Pour l'instant les négociations sont rompues entre la direction, le syndicat CFDT et les salariés, "Pour l'instant nous ne savons pas quand nous serons reçus", les salariés, eux, sont décidés à rester "mobilisés tant que les revendications ne seront pas acceptées", conclut Joël Dalleau.
"Nous avons rencontré la direction vendredi après-midi, mais les première négociations n'ont rien donné. Nous demandons la mise en place d'un 13ème mois et le déplacement du directeur", déclare Joël Dalleau, "le comportement du directeur a frisé l'insolence envers plusieurs salariés de l'enseigne".
C'est la première fois en 8 ans, que les salariés de Weldom se mettent en grève. Weldom fait partie du groupe Ravate, du reste une réunion avec le directeur général du groupe devait avoir lieu ce matin, mais "celui-ci a perdu patience. Il est parti sans nous rencontrer", souligne-t-il.
Pour l'instant les négociations sont rompues entre la direction, le syndicat CFDT et les salariés, "Pour l'instant nous ne savons pas quand nous serons reçus", les salariés, eux, sont décidés à rester "mobilisés tant que les revendications ne seront pas acceptées", conclut Joël Dalleau.